Moi c'est l'inverse, j'ai envie de l'acheter maintenant, alors que j'ai mille autre jeux à faire avant et que le jeu ne m'intéressait pas du tout avant, mais la liberté d'action me donne vraiment envie, même si les combats ont l'air un peu mous, et je ne suis pas fan de l'infiltration dans les jeux de manière générale.
Quand on arrive dans le quartier de l'équipage, qu'on voit le bar, les instruments de musiques, les couchettes de l'équipage, la cuisine et la salle de restauration, on ressent bien l'environnement complet du vaisseau. Mais le summum c'est de sortir dans l'espace et de faire le tour complet, d'aller tout en haut aux statues d'or des lions et voir à travers la baie vitrée la première zone du jeu.
Le vrai protagoniste de Prey c'est son vaisseau, comme Control c'était l'immeuble. Certains jeux arrivent à rendre leur monde vivant, cohérent et fontionnel en même temps. Tunic aussi a cette qualité. Un jeu comme The witness -aussi bon soit-il- on sent qu'un homme ne pourrait pas vivre sur l'île, que le jeu est d'abord créé pour proposer un gameplay -ce qui n'est pas un défaut, c'est un choix. Dans Prey, le vaisseau sert à la fois de terrain de jeu et de décor crédible où l'équipage vivait. C'est ça que j'ai adoré en le parcourant.
Terminé alone in the dark remake (partie avec Emilie), et beh effectivement je me suis senti bien seul devant tant de nullité.
À part les énigmes avec lesquelles ...
Je me retape des fois tes anciens tests comme pour le joueur du grenier. J'ai eu ce jeu dans mon enfance et je me le suis refait avec Sonic Origins Plus et d'autres ...
- Intéressante réflexion sur la nécessité d'entraver la liberté du joueur pour prendre du plaisir dans un jeu, Hooper !
Mais la conclusion comme quoi il ne ...
4 Commentaires
Merci Hooper, tu m'as convaincu de ne pas acheter ce jeu, non de la nuit, mais de l'ennui de l'infini.
Attends la fin de sa run.
Moi c'est l'inverse, j'ai envie de l'acheter maintenant, alors que j'ai mille autre jeux à faire avant et que le jeu ne m'intéressait pas du tout avant, mais la liberté d'action me donne vraiment envie, même si les combats ont l'air un peu mous, et je ne suis pas fan de l'infiltration dans les jeux de manière générale.
Quand on arrive dans le quartier de l'équipage, qu'on voit le bar, les instruments de musiques, les couchettes de l'équipage, la cuisine et la salle de restauration, on ressent bien l'environnement complet du vaisseau. Mais le summum c'est de sortir dans l'espace et de faire le tour complet, d'aller tout en haut aux statues d'or des lions et voir à travers la baie vitrée la première zone du jeu.
Le vrai protagoniste de Prey c'est son vaisseau, comme Control c'était l'immeuble. Certains jeux arrivent à rendre leur monde vivant, cohérent et fontionnel en même temps. Tunic aussi a cette qualité. Un jeu comme The witness -aussi bon soit-il- on sent qu'un homme ne pourrait pas vivre sur l'île, que le jeu est d'abord créé pour proposer un gameplay -ce qui n'est pas un défaut, c'est un choix. Dans Prey, le vaisseau sert à la fois de terrain de jeu et de décor crédible où l'équipage vivait. C'est ça que j'ai adoré en le parcourant.