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@ Atronak : Ah ouais ! Elle arrive à faire le même suraigu que Riperton. La façon dont elle le tient à la fin nous laisse carrément sur le cul. Sacrée reprise ! Une grande dame cette Laura Mayne. Et c’était elle dans Native ? Putain, c’est le jour et la nuit.

@ GreenSnake : Heureusement que j’ai pleine confiance dans ton sens du déchiffrage parce que, à me relire, c’est ridicule et indiscernable ce que je t’ai répondu sur Police. Pourtant c’était sincère et sans le moindre atome d’ironie. Mais tu as mille fois mieux formulé ce que je voulais dire. Voilà, les longs trajets lors des vacances d’été où nos parents nous réveillaient à 5 heures du mat’ à cause de cet enfoiré de Bison Futé, avec toujours, pour tuer le temps, l’indispensable autoradio-cassette d’où s’échappaient Supertramp, Police, OMD, Toto and co. Les miens, ayant capté que j’accrochais davantage sur Police (probable que je devais remuer comme une anguille dans la bagnole à chaque passage de leurs chansons), en sus du badge, m’avaient offert une batterie-jouet pour Noël. À partir de là, je me revois très bien taper comme un malade dans ma chambre. Je « jouais » par-dessus leurs morceaux en produisant un bordel qui devait se rapprocher plus des tambours du bronx que de Stewart Copeland ; en même temps, tu me diras, j’étais hélas tombé sur un cador. Le titre sur lequel je galérais le plus, c’était Spirits in the Material World. Cette rythmique, je ne la comprenais pas. Je loupais toujours le premier coup de caisse claire au refrain, et, au retour couplet, je retombais à côté sur le kick. Et j’avais beau le remettre 10, 20, 30 fois, rien à faire, je ne captais pas le truc. Allez, pour la peine endurée :

Sinon merci pour la sublime Minnie Riperton. Cela a donné un bel échange entre Atronak et toi. Et si je te lis entre les lignes, Green, je suis d’accord, regarder South Park ou Futurama en VF est sacrilège !!! Pas vrai, Isaac ?