Tu sais Huxley ne savait pas trop et était effrayé de voir ses "prophéties" se réaliser alors que quand il les a écrites, impossible de dire que ça allait tourner comme ça.
C'est vrais que Star Wars (plus que tout autre ?) sort des clou de la SF.
C'est presque annoncer de base avec "Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine" Bien la pour te détacher totalement de la réalité et faisant écho a "il était une fois dans un royaume fort lointain" ou équivalent.
Et c'est sur qu'il serait très facile de transposer tel quel l'intrigue dans n'importe quel univers contemporain ou médiévale tellement l'aspect "futuriste" espace tous ça n'est pas vitale a ce qui est raconter.
Mais bon SF et fantastique reste deux genre plutôt poreux quant même.
Quant a Rudolf je préfère quant tu oriente ton propose sur le manque de "profondeur" car c'est bien plus subjectif que de parler de parler de richesse/pauvreté d'un univers.
Là ou toi tu ne vois qu’empilement d'élément disparate au pif pour meubler, d'autre verront une myriade de détaille donnant corps et cohérence a cette univers par des détaille et des sous-entendue laissent une place a l'interprétation.
Ce n'est pas par ce que tous les élément de l'univers ne sont pas explicitement expliquer comme dans le seigneur des anneaux que l'univers en et forcément pauvre et superficielle.
Je ne me prononcerai pas sur le reste mais qu'entends-tu vraiment par Légendes arthuriennes ?
Bah, le Roi Arthur, Excalibur, Merlin, les chevaliers de la Table Ronde, tout ça.
Atronak a écrit:
Dans science fiction il y a science, si tu nique les lois physique c'est de la fiction.
On peut comprendre le terme "science-fiction" par "science fictive", donc que les lois physiques de notre monde ne soient pas respectées n'est en aucun cas en problème, à partir du moment où on imagine un monde différent dans lequel les lois physiques sont différentes (et justement, Star Wars ne se passe pas dans notre monde). Ta définition, c'est celle de la "Hard-SF", pas de la science-fiction dans son ensemble. Effectivement, Star Wars n'est pas de la Hard-SF, mais du "space opera" qui est un sous-genre de la SF, donc c'est de la SF.
D'ailleurs, je ne connais absolument aucune oeuvre de SF ne comportant aucun élément contradictoire avec notre physique, y compris dans la Hard-SF. Sinon, autant dire que le genre "science-fiction" n'existe pas et que tout est "fantastique".
Et puis, tu sais : de tous temps, on a pensé que plein de trucs étaient "possibles" ou "impossibles" dans la science, mais l'avenir nous a souvent donné tort. Cela renvoie d'ailleurs à la "première loi de Clarke" :
"Quand un savant reconnu mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison ; mais lorsqu'il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort."
Bref, dans le terme "science-fiction", il y a effectivement "fiction".
Erio-vaR a écrit:
Là ou toi tu ne vois qu’empilement d'élément disparate au pif pour meubler, d'autre verront une myriade de détaille donnant corps et cohérence a cette univers par des détaille et des sous-entendue laissent une place a l'interprétation.
Certes, sauf que je ne vois personne mettre Star Wars au même niveau de profondeur que les romans de SF que j'ai cités. Quand on connaît un minimum la SF, c'est quelque chose d'évident pour moi.
GreenSnake a écrit:
En revanche j'ai toujours pas compris pourquoi on peut pas débattre passionnément sur Star Wars et qu'il faut forcément un univers très profond pour en débattre...
Star Wars, c'est un univers SF pas très solide, pas cohérent dans son ensemble (ce qui n'est pas forcément un problème vu que ce n'est pas l'ambition de cette saga), donc à ce moment-là, je ne vois pas l'intérêt de débattre de sa cohérence et de sa profondeur car ça n'en vaut pas la peine à mon avis. D'où mon impression que c'est complètement disproportionné (je peux dire exactement la même chose de tous ces débats sur la cohérence scénaristique et la profondeur de l'univers de Dragon Ball ou de Zelda).
Après, oui, la frontière entre SF et fantastique est souvent floue, mais c'est justement ce que dit la troisième loi de Clarke (un éminent auteur de SF, quand même).
Si je filme une voiture qui se transforme en éléphant ce n'est pas du tout scientifique donc pas de la S.F.
Rudolf a écrit:
Star Wars, c'est un univers SF pas très solide, pas cohérent dans son ensemble (ce qui n'est pas forcément un problème vu que ce n'est pas l'ambition de cette saga), donc à ce moment-là, je ne vois pas l'intérêt de débattre de sa cohérence et de sa profondeur car ça n'en vaut pas la peine à mon avis. D'où mon impression que c'est complètement disproportionné (je peux dire exactement la même chose de tous ces débats sur la cohérence scénaristique et la profondeur de l'univers de Dragon Ball ou de Zelda).
Sans être complètement d'accord, je comprends mieux ce que tu veux dire.
En même temps, moins un univers est cohérent plus il est ouvert au débat^^
Certes, sauf que je ne vois personne mettre Star Wars au même niveau de profondeur que les romans de SF que j'ai cités. Quand on connaît un minimum la SF, c'est quelque chose d'évident pour moi.
D'un autre coté je ne vois personne mettre un quelconque films au même nivaux de profondeur que les meilleur roman des genres associer ;)
(Qui met le films seigneur des anneaux aux même niveau que les roman du même titre ? :p )
C'est assez cocasse de constater que les acteurs (Isaac, Boyega) commencent déjà à délier leurs langues sur les choix discutables de Disney alors que le film est toujours en salle.
Abrams en mode panique : Avec moi, s'il vous plaît, avec moi !!!!
Boyega : Je ne dis rien, je ne dis rien.
Isaac : Je me suis endormi !
Daniels : C'est quoi ce truc ?
Kelly : Merde, ils m'ont oublié les cons !
Naomi : Ah quand même, la vache, cet étron...
Daisy : Ma carrière est finie !
Tu sais Huxley ne savait pas trop et était effrayé de voir ses "prophéties" se réaliser alors que quand il les a écrites, impossible de dire que ça allait tourner comme ça.
C'est vrais que Star Wars (plus que tout autre ?) sort des clou de la SF.
C'est presque annoncer de base avec "Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine" Bien la pour te détacher totalement de la réalité et faisant écho a "il était une fois dans un royaume fort lointain" ou équivalent.
Et c'est sur qu'il serait très facile de transposer tel quel l'intrigue dans n'importe quel univers contemporain ou médiévale tellement l'aspect "futuriste" espace tous ça n'est pas vitale a ce qui est raconter.
Mais bon SF et fantastique reste deux genre plutôt poreux quant même.
Quant a Rudolf je préfère quant tu oriente ton propose sur le manque de "profondeur" car c'est bien plus subjectif que de parler de parler de richesse/pauvreté d'un univers.
Là ou toi tu ne vois qu’empilement d'élément disparate au pif pour meubler, d'autre verront une myriade de détaille donnant corps et cohérence a cette univers par des détaille et des sous-entendue laissent une place a l'interprétation.
Ce n'est pas par ce que tous les élément de l'univers ne sont pas explicitement expliquer comme dans le seigneur des anneaux que l'univers en et forcément pauvre et superficielle.
Bah, le Roi Arthur, Excalibur, Merlin, les chevaliers de la Table Ronde, tout ça.
On peut comprendre le terme "science-fiction" par "science fictive", donc que les lois physiques de notre monde ne soient pas respectées n'est en aucun cas en problème, à partir du moment où on imagine un monde différent dans lequel les lois physiques sont différentes (et justement, Star Wars ne se passe pas dans notre monde). Ta définition, c'est celle de la "Hard-SF", pas de la science-fiction dans son ensemble. Effectivement, Star Wars n'est pas de la Hard-SF, mais du "space opera" qui est un sous-genre de la SF, donc c'est de la SF.
D'ailleurs, je ne connais absolument aucune oeuvre de SF ne comportant aucun élément contradictoire avec notre physique, y compris dans la Hard-SF. Sinon, autant dire que le genre "science-fiction" n'existe pas et que tout est "fantastique".
Et puis, tu sais : de tous temps, on a pensé que plein de trucs étaient "possibles" ou "impossibles" dans la science, mais l'avenir nous a souvent donné tort. Cela renvoie d'ailleurs à la "première loi de Clarke" :
"Quand un savant reconnu mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison ; mais lorsqu'il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort."
Bref, dans le terme "science-fiction", il y a effectivement "fiction".
Certes, sauf que je ne vois personne mettre Star Wars au même niveau de profondeur que les romans de SF que j'ai cités. Quand on connaît un minimum la SF, c'est quelque chose d'évident pour moi.
Star Wars, c'est un univers SF pas très solide, pas cohérent dans son ensemble (ce qui n'est pas forcément un problème vu que ce n'est pas l'ambition de cette saga), donc à ce moment-là, je ne vois pas l'intérêt de débattre de sa cohérence et de sa profondeur car ça n'en vaut pas la peine à mon avis. D'où mon impression que c'est complètement disproportionné (je peux dire exactement la même chose de tous ces débats sur la cohérence scénaristique et la profondeur de l'univers de Dragon Ball ou de Zelda).
Après, oui, la frontière entre SF et fantastique est souvent floue, mais c'est justement ce que dit la troisième loi de Clarke (un éminent auteur de SF, quand même).
Sans être complètement d'accord, je comprends mieux ce que tu veux dire.
En même temps, moins un univers est cohérent plus il est ouvert au débat^^
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Ba voilà, Rudolf sert à quelque chose, làà :ppp ;)
D'un autre coté je ne vois personne mettre un quelconque films au même nivaux de profondeur que les meilleur roman des genres associer ;)
(Qui met le films seigneur des anneaux aux même niveau que les roman du même titre ? :p )
C'est assez cocasse de constater que les acteurs (Isaac, Boyega) commencent déjà à délier leurs langues sur les choix discutables de Disney alors que le film est toujours en salle.
J'imagine même pas dans quelques mois...
C'est énorme leurs réactions.
Abrams en mode panique : Avec moi, s'il vous plaît, avec moi !!!!
Boyega : Je ne dis rien, je ne dis rien.
Isaac : Je me suis endormi !
Daniels : C'est quoi ce truc ?
Kelly : Merde, ils m'ont oublié les cons !
Naomi : Ah quand même, la vache, cet étron...
Daisy : Ma carrière est finie !
Et Driver : Moi, je suis déjà plus là !