Sky Destroyer est un jeu vidéo de type shoot them up a défilement en profondeur développé par Home Data et édité par Taito sur Arcade, pour la Nintendo Famicom au Japon uniquement, ainsi que pour l’ordinateur familial en 1985, jouable a 1 joueur.
Le joueur prend le contrôle d'un avion de guerre Japonais de la seconde guerre mondiale dont l'objectif principal est de vaincre divers ennemis dans les airs et dans la mer pour passer les étapes, pour ce faire il a une mitrailleuse et peut egalement tirer les torpilles.
La couleur du ciel change selon l’heure du jour (après-midi, soir, nuit), F6F Hellcats sont des avions de chasse ennemis que le joueur rencontrera, de temps en temps le joueur se heurte à un bombardier B-24 et doit tirer sur chacun de ses quatre moteurs avant que le B-24 s’écoule, parfois lorsque le joueur a abattu un certain nombre de B-24 un satellite chute à travers l’écran qu'il faudra abattre pour obtenir plus de points, la résistance ennemie vient non seulement de l’air mais aussi de la terre et de la mer, parfois un destroyer naval américain ou un sous marin essayent de descendre l’avion du joueur avec des tirs antiaériens, les porte avions peuvent parfois être vus dans l’horizon lointain et coulés avec des torpilles, a la fin d’une étape le joueur fait face à une batterie mobile à terre sur une île qu'il doit détruite afin de compléter la mission, si le joueur est frappé une seule fois par le feu ennemi son avion s’écrase et il perd une vie, le jeu est terminé lorsque toutes les vies sont épuisés, 3 en occurrence au départ et 9 dans une version hack "Sky Invader".
Ce shoot utilise la fameuse technique de l'effet de profondeur de plus bel effet, le jeu est globalement sympa et les munitions sont illimitées, visuellement impressionnant vu sa date de sortie, cependant les hit boxes ou les tirs ne sont pas d'une précision sans faille.
Urban Champion est un jeu vidéo de type combat a défilement horizontal développé et édité par Nintendo en novembre 1984 sur Nintendo Famicom et ensuite Nintendo Entertainment System en aout 1986, jouable a 2 joueurs.
Il s'agit d'un jeu de combat dans lequel deux personnages rivaux décident d'un rendez vous pour se battre, le premier personnage qui arrive a pousser le second dans un trou de bouche d’égout remporte la partie, seuls les coups de poings sont autorisés.
La durée du combat et l'endurance du personnage sont limités, toutes 2 sont indiquées à l'écran par des nombres, les personnages se font face et peuvent avancer ou reculer, ils ont 2 types d'attaque, 1 coup de poing simple et 1 coup de poing puissant, le coup de poing simple a mi hauteur ne projette pas l'adversaire aussi loin que le coup de poing puissant dans la tête, plus long a porté mais il est plus difficile à parer, chaque coup porté fait perdre au personnage du joueur 1 point d'endurance, occasionnellement des habitants lancent des pots de fleurs par les fenêtres et s’ils touchent un personnage ils lui font perdre 5 points d'endurance et l'immobilise, de plus une patrouille de police passe régulièrement et les personnages se calment, si le temps est écoulé sans victoire la l'adversaire se fait embarquer et le jeu recommence, la direction "gauche" permet de reculer ou d'éviter un coup, la direction "droite" doit être utilisé avec le bouton A ou le bouton B pour porter un coup, les directions "haut" et "bas" servent à parer les coups sans avancer ni reculer.
De ce que j'ai vu jusqu'ici la console est pauvre en jeu de combat mais certains montrent quelques intérêts que ça soit en terme de "mécanique" ou en terme de "fun", ici on est face a un jeu plutôt rigolo, simpliste mais rigolo, du coup il est presque moyen.
Yie Ar Kung Fu est un jeu vidéo de type combat développé et édité par Konami, sorti sur borne d'arcade en 1985, il a été porté sur divers consoles de jeu 8 bits dont la Nintendo Famicom cette même année, jouable a 1 joueur, le jeu a eu une suite en 1986.
Vous incarnez Oolong, un jeune combattant qui doit affronter 5 maitres en arts martiaux en 1 vs 1 chacun ayant sa spécialité, il va donc falloir adapter votre style pour chaque combat si vous voulez remporter le tournoi, vos opposants se serviront egalement d'armes.
Oolong possède un certain nombre d'attaques sur 3 positions différentes, bas, neutre et haut, avec le poing mais aussi le pied, il y en a pas une plus puissante qu'une autre, il s'agit plutôt d'utiliser celle qui selon vous parait la plus efficace contre l'adversaire qui vous fait face, donc parfois la porté joue parfois la priorité joue, a savoir qu'il est egalement possible de sauter et de mettre un coup de pied ou de poing, le jeu popularise l'utilisation des barres de vie qui ici fond comme neige au soleil si on a pas bien cerné l'adversaire qui nous fait face, il est egalement a noter que l'IA a plus de priorité que nous, et qu'il faudra être très vigilant, entre quelques combat y a des bonus stage, et une fois le jeu fini le personnage fait un coup de pied a la cloche ce qui signifie que le jeu repart de zéro avec les mêmes combattants précédemment affronté dans le même ordre, peut être avec une difficulté légèrement plus accrue a chaque fois.
Yie Ar Kung Fu est dans la veine de Urban Champion, des jeux qui utilisent certaines mécaniques ou sont funs, dans celui ci on trouve un peu des 2, mais les priorités abusives de nos adversaires nous font parfois halluciner surtout pour les armés, presque moyen.
Un retour pour dire que j'ai présenté tous les jeux au moins "presque moyens" de la première console de 360 jeux (sauf 3 mauvais que j'ai présenté dans les débuts), 113 pour être précis, a savoir que jusqu’à présent j'ai joué 250 jeux différents en tout.
J'ai egalement joué a une autre NES de 150 jeux dont la moitié sont des doublons, parmi les 75 restants, 70 je les ai deja présenté dans la console précédente, mais il en reste tout de même 5 a présenter, que je ferai sans doutes dans l’après midi, dont 1 qui n'est pas sous licence, que je présente pas habituellement mais celui ci est particulier, comme la jaquette n'existe pas j'en ai fait une moi même, et ça se voit vu qu'elle est pas a la hauteur des autres.
J'ai pris autour de 10h hier pour faire les 12 dernières présentations, pendant la semaine c’était compliqué, il est évident que je fais tout ça d'abord pour moi, mais les présentations pour le forum, et même si ça me fait plaisir, il n'y a plus de retour...
Alors n'allez pas croire que je vous accable ou demande je ne sais quoi, car je finirai (du moins je ferai mon maximum) ce que j'ai commencé, et je le ferai sans doutes pour d'autres consoles, mais cette fois ci de mon coté sans les 15 lignes X 110 (dont je ne connais pas le total a la fin de l'exercice).
Je remercie les gens qui ont participé ou lisent sans se prononcer mais il me tarde d'en finir, ce qui prendra un certain temps (au moins 2/3 mois encore et ça si je garde le même rythme), en attendant je ferai toujours de mon mieux comme d'habitude.
Eh ben mon cochon... Tu carbures à quoi au juste ? Chapeau pour maintenir le cap capitaine !
Je lis tous tes retours dans l'ombre et je découvre grâce à toi certains jeux que je mets de côté donc ce n'est pas vain, sois-en certain (vive la rime !).
J'avoue que j'aimerais bien que tu fasses ce genre de topics pour les jeux des autres consoles que tu comptes faire, mais pas de cette manière. A ta place, je mettrais juste le nom du jeu et donnerais mon avis en quelques mots, lignes (joué à tel jeu et ce que j'en pense, si j'ai aimé).
En tout cas, quoi que tu fasses, encore bravo pour ton opiniâtreté et merci pour tes retours.
Little Ninja Brothers connu au Japon comme Super Chinese 2 est un jeu vidéo de type Action/RPG développé et publié par Culture Brain en 1989 sur Nintendo Famicom et Nintendo Entertainment System en 1990, le deuxième opus de la série, jouable a 2 joueurs.
Little Ninja Brothers est le premier jeu de la série "Super Chinese" à mettre en avant des éléments de RPG, un ajout à la série qui se poursuivra dans les autres jeux, il s'agit du second jeu de la série précédé par "Kung Fu Heroes" et suivi par une suite "Super Ninja Boy" sorti sur la Super Nintendo, il y avait aussi deux spin off Ninja Boy sur Game Boy, une adaptation manga du jeu a aussi vu le jour.
Ce jeu de rôle vous propulse dans un monde ou les ninjas règnent en maitre, Blu Boltar le chef du clan Yoma envahit la Chine et fait prisonnier son empereur en se déclarant seigneur des terres, l'intrigue suit deux jeunes frères, Jack et Ryu, deux maitres ninjas tentant de découvrir la mystérieuse raison de l’invasion de la Chine qui vont tout faire pour libérer l’empereur du joug du vilain Boltar.
Le jeu se déroule comme les RPG habituels, en extérieur vue de dessus on peut se balader sur la mappe et entrer dans les villages et discuter avec des personnages, les combats se font sur un écran fixe librement ou il faut éliminer une partie de nos ennemis avec les coups de poings ou en leurs sautant dessus, une fois la majorité battu les ennemis restant prennent la fuite, ainsi on engrange l'XP et on monte de niveau, par moment on rencontre des personnages qui nous proposent des mini jeux a emporter contre un adversaire dans diverses situation, d'ailleurs ces mini jeux font partie intégrante d'un mode a part ou on peut jouer a 2 en 1 contre l'autre ou contre l'IA.
J'ai deja vu un jeu utilisant le même style de combat au sprite et animation prés, mais il était mauvais d’où la non présentation, il est egalement a savoir qu'on ne sait pas trop ou aller et que le niveau ennemi nous surplombe et c'est le "Game Over", presque moyen.
Heavy Barrel est un jeu vidéo de type Run and Gun a défilement libre développé et édité par Data East en 1987 sur Arcade, Apple II et DOS en 1989 et ensuite Nintendo Famicom et Nintendo Entertainment System en 1990, jouable a 2 joueurs.
Votre mission est d’infiltrer (façon de parler car les ennemis arrivent de partout) les sous sols d'un complexe ou se trouve un missile nucléaire car de dangereux terroristes en ont pris le contrôle, pour empêcher l'utilisation de ce missile il vous faut le Heavy Barrel une arme expérimentale composée de cinq morceaux qui ont été appareillés et cachés dans la base qu'il vous faudra trouver.
Les joueurs commencent armés d'un pistolet laser avec des munitions illimitées et un stock limitée de grenades, des améliorations des armes ainsi que des power ups pour la grenade sont disponibles dans le jeu, ces derniers sont bien en vue ou dans des coffres qui doivent être débloqués en utilisant des clés (ramassés sur les cadavres), les coffres peuvent contenir des orbes ou l'un des 6 morceaux du super canon lourd, qui une fois les 6 pièces réunies possède une énergie capable de détruire n'importe quel ennemi dans le jeu avec un seul tir à l'exception du boss final, et peut être quelques boss intermédiaires qui peuvent avoir besoin de 2 salves, l'arme couvre un grand angle de tir et peut être tiré aussi vite qu'un tir classique, cependant après 30 secondes d'utilisation son énergie est épuisée et le porteur revient à son armement précédent, sa plus grande utilité est contre les boss et cette arme peut être assemblée à plusieurs reprises durant la partie, dans le mode 2 joueurs c'est celui qui recueille la sixième pièce qui est équipé avec le canon lourd.
J'ai souvenir d'avoir dit "je n'aime pas les Run and Gun", j'avais du dire "je n'aime pas les mauvais jeux" car en réalité il suffisait de faire un bon jeu, pas trop difficile dans lequel on prend plaisir a jouer, un bon jeu en somme et une vraie surprise vu ce que j'ai vu avant.
Magic Jewelry est un jeu vidéo de réflexionsans licence s'inspirant de Columns, programmé par Hwang Shinwei et publié par RCM en 1990, il apparait souvent dans les consoles Chinoises sous Coin Tetris, Abacus, Jewel Master et autres copies, jouable a 1 joueur.
L'image faite par moi même présente "Magic Jewelry" (a droite), un jeu sans licence s'inspirant de "Columns" demeurant un bon jeu de SEGA, lui même servant d'inspiration a "Abacus" (a gauche), moins flatteur visuellement que j'avais décidé de ne pas présenter.
Magic Jewelry présente New York avec sa statue de la liberté, des nuages, des étoiles et le croissant de lune qui se déplace à plusieurs reprises de bas en haut figurant sur l’arrière plan, Abacus lui présente une vue du ciel en contrebas avec une sorte de fée?
Les amateurs de Tetris (Nintendo), Puyo Puyo ou Mean Bean Machine (SEGA) ne doivent pas être trop dépaysés avec Magic Jewelry (et Abacus), ceux de Columns (SEGA) pas du tout vu qu'il s'agit exactement de mécaniques identiques, dans lequel les scores sont obtenus avec la combinaison de lignes composées de trois bijoux colorés ou plus (horizontalement, verticalement et en diagonale), grâce à l’utilisation d'une pièce de une, deux ou trois couleurs tombant dans une grille de jeu rectangulaire, une fois 3 couleurs combinée font disparaitre la pièce, le joueur gagne des points bonus si une réaction en chaîne (combo) se produit à ce moment, par moment une pièce "X" tombe et fait disparaitre toutes les pièces de la même couleur que celle sur laquelle elle a atterri, si l’écran était vide a ce moment précis le joueur obtient un score normal, le jeu se termine lorsque une pièce touche le bord supérieur de la grille.
Compliqué d'expliquer les mécaniques du jeu a l’écrit, et si ça vous parait compliqué en me lisant c'est juste une impression, le tout est assez simple a assimiler et si jamais l'envie vous prend d'essayer, sachez que mon record perso est a 300k points, un bon jeu.
The Trolls in Crazy Land est un jeu vidéo de type plateforme a défilement d’écran horizontal vers la droite développé par KID et édité par VAP sorti en 1991 sur Nintendo Famicom, jouable a 1 joueur, la version européenne remplace le personnage principal.
Le joueur contrôle un garçon avec un casque de baseball nommé Ponpon attaquant ses ennemis en tirant dans des balles afin de sauver sa petite amie d’une force inconnue à l’intérieur d’un parc d’attractions, plus il est blessé, plus il fait de dégâts aux ennemis.
On a affaire a un jeu de plateforme reprenant les éléments et mécaniques traditionnels des jeux de plateforme de l'époque sauf que le partie prit graphique donne un effet de profondeur plutôt réussi mais egalement une mécanique de gameplay qui fait en sorte que plus le joueur est blessé plus il fait des dégâts, a part le fait de le constater on peut le voir visuellement car le personnage principal Ponpon (version Japonaise) ou un pantin (version Européenne) tire des balles différentes selon son niveau de santé, le level design est plutôt réussi et dans le parc d’attraction vous serrez confronté aux clowns et divers ennemis correspondant a ce thème, chaque niveau se terminant par un Boss et une fois chacun des niveaux terminé vous donne droit a un mot de passe histoire de ne pas tout refaire, ce qui est plut une bonne idée vu que le jeu instaure quelques lourdeurs dont des endroits ou il faut patienter et d'autres qui ont des relents de "die and retry" ou il faut retenir certaines choses afin de pouvoir progresser sans se soucier.
Il est a savoir que j'ai joué a la version Japonaise du jeu, donc avec Ponpon, et dire qu'en Europe on a eu droit a une poupé immonde pour en faire la promo si j'ai bien compris..., je m’attendais a une bouse en lançant le jeu mais il s’avère plutôt sympa a jouer au final.
Michael Andretti's World GP (connu au Japon sous le nom de F1 Hero) est un jeu vidéo de type simulation de course de F1 développé par Human Entertainment et édité par Varie pour Nintendo Famicom en 1988 et Nintendo Entertainment System en 1990, 2 joueurs.
Le titre sous le nom du pilote Américain d'Indycar Michael Andretti propose le calendrier complet des 16 tracés officiels de l'époque, du circuit de Monaco, en passant par Hongrie ou encore le Canada, il propose egalement 4 voitures différentes, jouable a 2 en splité.
Le mode "Grand Prix" (en plus du mode practice et 2 player) était unique tant il s’écartait de la plupart des jeux de course sur console de son époque, au lieu d’être un jeu de conduite de style arcade, World GP ressemble plus à un jeu de course de simulation, c’était le premier jeu de course à mettre en avant les licences (bien que tous sauf Andretti avait des pseudonymes), quatre voitures différentes proposé, cependant il n’y avait pas de réglage une caractéristique souvent associée à des simulations de course, considéré comme difficile, les 16 circuits du calendrier de la Formule 1 ont été reproduits avec précision ayant à la fois des virages pointus et larges ce qui oblige les joueurs à ralentir en baissant les vitesses pour les virages qui ne se résume pas juste a "Slow/High" par rapport a d'autres jeux, certaines courses ont nécessité des dizaines de changements de vitesse par tour, l’usure des pneus est prise en compte et les joueurs tenus de les changer au moins une fois par course pour demeurer compétitifs au pit stop représentée par un cône, pour se qualifier il faut faire partie des 4 premiers sous peine d’être spectateur pour la course, la moitié supérieure de l’écran dispose d’une carte du circuit et la position des voitures représentées par des icônes (gâchant certes la moitié de la visibilité mais étant très très utile).
Lorsque plusieurs voitures sont sur la piste le jeu ne prend pas en compte les collisions entre les véhicules, fini les explosions, le jeu étant assez difficile on a acces a un mot de passe qui nous permet de continuer la cariere sans tout refaire, un jeu sympa.
Sky Destroyer est un jeu vidéo de type shoot them up a défilement en profondeur développé par Home Data et édité par Taito sur Arcade, pour la Nintendo Famicom au Japon uniquement, ainsi que pour l’ordinateur familial en 1985, jouable a 1 joueur.
Le joueur prend le contrôle d'un avion de guerre Japonais de la seconde guerre mondiale dont l'objectif principal est de vaincre divers ennemis dans les airs et dans la mer pour passer les étapes, pour ce faire il a une mitrailleuse et peut egalement tirer les torpilles.
La couleur du ciel change selon l’heure du jour (après-midi, soir, nuit), F6F Hellcats sont des avions de chasse ennemis que le joueur rencontrera, de temps en temps le joueur se heurte à un bombardier B-24 et doit tirer sur chacun de ses quatre moteurs avant que le B-24 s’écoule, parfois lorsque le joueur a abattu un certain nombre de B-24 un satellite chute à travers l’écran qu'il faudra abattre pour obtenir plus de points, la résistance ennemie vient non seulement de l’air mais aussi de la terre et de la mer, parfois un destroyer naval américain ou un sous marin essayent de descendre l’avion du joueur avec des tirs antiaériens, les porte avions peuvent parfois être vus dans l’horizon lointain et coulés avec des torpilles, a la fin d’une étape le joueur fait face à une batterie mobile à terre sur une île qu'il doit détruite afin de compléter la mission, si le joueur est frappé une seule fois par le feu ennemi son avion s’écrase et il perd une vie, le jeu est terminé lorsque toutes les vies sont épuisés, 3 en occurrence au départ et 9 dans une version hack "Sky Invader".
Ce shoot utilise la fameuse technique de l'effet de profondeur de plus bel effet, le jeu est globalement sympa et les munitions sont illimitées, visuellement impressionnant vu sa date de sortie, cependant les hit boxes ou les tirs ne sont pas d'une précision sans faille.
Urban Champion est un jeu vidéo de type combat a défilement horizontal développé et édité par Nintendo en novembre 1984 sur Nintendo Famicom et ensuite Nintendo Entertainment System en aout 1986, jouable a 2 joueurs.
Il s'agit d'un jeu de combat dans lequel deux personnages rivaux décident d'un rendez vous pour se battre, le premier personnage qui arrive a pousser le second dans un trou de bouche d’égout remporte la partie, seuls les coups de poings sont autorisés.
La durée du combat et l'endurance du personnage sont limités, toutes 2 sont indiquées à l'écran par des nombres, les personnages se font face et peuvent avancer ou reculer, ils ont 2 types d'attaque, 1 coup de poing simple et 1 coup de poing puissant, le coup de poing simple a mi hauteur ne projette pas l'adversaire aussi loin que le coup de poing puissant dans la tête, plus long a porté mais il est plus difficile à parer, chaque coup porté fait perdre au personnage du joueur 1 point d'endurance, occasionnellement des habitants lancent des pots de fleurs par les fenêtres et s’ils touchent un personnage ils lui font perdre 5 points d'endurance et l'immobilise, de plus une patrouille de police passe régulièrement et les personnages se calment, si le temps est écoulé sans victoire la l'adversaire se fait embarquer et le jeu recommence, la direction "gauche" permet de reculer ou d'éviter un coup, la direction "droite" doit être utilisé avec le bouton A ou le bouton B pour porter un coup, les directions "haut" et "bas" servent à parer les coups sans avancer ni reculer.
De ce que j'ai vu jusqu'ici la console est pauvre en jeu de combat mais certains montrent quelques intérêts que ça soit en terme de "mécanique" ou en terme de "fun", ici on est face a un jeu plutôt rigolo, simpliste mais rigolo, du coup il est presque moyen.
Yie Ar Kung Fu est un jeu vidéo de type combat développé et édité par Konami, sorti sur borne d'arcade en 1985, il a été porté sur divers consoles de jeu 8 bits dont la Nintendo Famicom cette même année, jouable a 1 joueur, le jeu a eu une suite en 1986.
Vous incarnez Oolong, un jeune combattant qui doit affronter 5 maitres en arts martiaux en 1 vs 1 chacun ayant sa spécialité, il va donc falloir adapter votre style pour chaque combat si vous voulez remporter le tournoi, vos opposants se serviront egalement d'armes.
Oolong possède un certain nombre d'attaques sur 3 positions différentes, bas, neutre et haut, avec le poing mais aussi le pied, il y en a pas une plus puissante qu'une autre, il s'agit plutôt d'utiliser celle qui selon vous parait la plus efficace contre l'adversaire qui vous fait face, donc parfois la porté joue parfois la priorité joue, a savoir qu'il est egalement possible de sauter et de mettre un coup de pied ou de poing, le jeu popularise l'utilisation des barres de vie qui ici fond comme neige au soleil si on a pas bien cerné l'adversaire qui nous fait face, il est egalement a noter que l'IA a plus de priorité que nous, et qu'il faudra être très vigilant, entre quelques combat y a des bonus stage, et une fois le jeu fini le personnage fait un coup de pied a la cloche ce qui signifie que le jeu repart de zéro avec les mêmes combattants précédemment affronté dans le même ordre, peut être avec une difficulté légèrement plus accrue a chaque fois.
Yie Ar Kung Fu est dans la veine de Urban Champion, des jeux qui utilisent certaines mécaniques ou sont funs, dans celui ci on trouve un peu des 2, mais les priorités abusives de nos adversaires nous font parfois halluciner surtout pour les armés, presque moyen.
Des survivants par ici?
Un retour pour dire que j'ai présenté tous les jeux au moins "presque moyens" de la première console de 360 jeux (sauf 3 mauvais que j'ai présenté dans les débuts), 113 pour être précis, a savoir que jusqu’à présent j'ai joué 250 jeux différents en tout.
J'ai egalement joué a une autre NES de 150 jeux dont la moitié sont des doublons, parmi les 75 restants, 70 je les ai deja présenté dans la console précédente, mais il en reste tout de même 5 a présenter, que je ferai sans doutes dans l’après midi, dont 1 qui n'est pas sous licence, que je présente pas habituellement mais celui ci est particulier, comme la jaquette n'existe pas j'en ai fait une moi même, et ça se voit vu qu'elle est pas a la hauteur des autres.
J'ai pris autour de 10h hier pour faire les 12 dernières présentations, pendant la semaine c’était compliqué, il est évident que je fais tout ça d'abord pour moi, mais les présentations pour le forum, et même si ça me fait plaisir, il n'y a plus de retour...
Alors n'allez pas croire que je vous accable ou demande je ne sais quoi, car je finirai (du moins je ferai mon maximum) ce que j'ai commencé, et je le ferai sans doutes pour d'autres consoles, mais cette fois ci de mon coté sans les 15 lignes X 110 (dont je ne connais pas le total a la fin de l'exercice).
Je remercie les gens qui ont participé ou lisent sans se prononcer mais il me tarde d'en finir, ce qui prendra un certain temps (au moins 2/3 mois encore et ça si je garde le même rythme), en attendant je ferai toujours de mon mieux comme d'habitude.
Toujours présent, fidèle au poste chef ! \o/
Eh ben mon cochon... Tu carbures à quoi au juste ? Chapeau pour maintenir le cap capitaine !
Je lis tous tes retours dans l'ombre et je découvre grâce à toi certains jeux que je mets de côté donc ce n'est pas vain, sois-en certain (vive la rime !).
J'avoue que j'aimerais bien que tu fasses ce genre de topics pour les jeux des autres consoles que tu comptes faire, mais pas de cette manière. A ta place, je mettrais juste le nom du jeu et donnerais mon avis en quelques mots, lignes (joué à tel jeu et ce que j'en pense, si j'ai aimé).
En tout cas, quoi que tu fasses, encore bravo pour ton opiniâtreté et merci pour tes retours.
Little Ninja Brothers connu au Japon comme Super Chinese 2 est un jeu vidéo de type Action/RPG développé et publié par Culture Brain en 1989 sur Nintendo Famicom et Nintendo Entertainment System en 1990, le deuxième opus de la série, jouable a 2 joueurs.
Little Ninja Brothers est le premier jeu de la série "Super Chinese" à mettre en avant des éléments de RPG, un ajout à la série qui se poursuivra dans les autres jeux, il s'agit du second jeu de la série précédé par "Kung Fu Heroes" et suivi par une suite "Super Ninja Boy" sorti sur la Super Nintendo, il y avait aussi deux spin off Ninja Boy sur Game Boy, une adaptation manga du jeu a aussi vu le jour.
Ce jeu de rôle vous propulse dans un monde ou les ninjas règnent en maitre, Blu Boltar le chef du clan Yoma envahit la Chine et fait prisonnier son empereur en se déclarant seigneur des terres, l'intrigue suit deux jeunes frères, Jack et Ryu, deux maitres ninjas tentant de découvrir la mystérieuse raison de l’invasion de la Chine qui vont tout faire pour libérer l’empereur du joug du vilain Boltar.
Le jeu se déroule comme les RPG habituels, en extérieur vue de dessus on peut se balader sur la mappe et entrer dans les villages et discuter avec des personnages, les combats se font sur un écran fixe librement ou il faut éliminer une partie de nos ennemis avec les coups de poings ou en leurs sautant dessus, une fois la majorité battu les ennemis restant prennent la fuite, ainsi on engrange l'XP et on monte de niveau, par moment on rencontre des personnages qui nous proposent des mini jeux a emporter contre un adversaire dans diverses situation, d'ailleurs ces mini jeux font partie intégrante d'un mode a part ou on peut jouer a 2 en 1 contre l'autre ou contre l'IA.
J'ai deja vu un jeu utilisant le même style de combat au sprite et animation prés, mais il était mauvais d’où la non présentation, il est egalement a savoir qu'on ne sait pas trop ou aller et que le niveau ennemi nous surplombe et c'est le "Game Over", presque moyen.
Heavy Barrel est un jeu vidéo de type Run and Gun a défilement libre développé et édité par Data East en 1987 sur Arcade, Apple II et DOS en 1989 et ensuite Nintendo Famicom et Nintendo Entertainment System en 1990, jouable a 2 joueurs.
Votre mission est d’infiltrer (façon de parler car les ennemis arrivent de partout) les sous sols d'un complexe ou se trouve un missile nucléaire car de dangereux terroristes en ont pris le contrôle, pour empêcher l'utilisation de ce missile il vous faut le Heavy Barrel une arme expérimentale composée de cinq morceaux qui ont été appareillés et cachés dans la base qu'il vous faudra trouver.
Les joueurs commencent armés d'un pistolet laser avec des munitions illimitées et un stock limitée de grenades, des améliorations des armes ainsi que des power ups pour la grenade sont disponibles dans le jeu, ces derniers sont bien en vue ou dans des coffres qui doivent être débloqués en utilisant des clés (ramassés sur les cadavres), les coffres peuvent contenir des orbes ou l'un des 6 morceaux du super canon lourd, qui une fois les 6 pièces réunies possède une énergie capable de détruire n'importe quel ennemi dans le jeu avec un seul tir à l'exception du boss final, et peut être quelques boss intermédiaires qui peuvent avoir besoin de 2 salves, l'arme couvre un grand angle de tir et peut être tiré aussi vite qu'un tir classique, cependant après 30 secondes d'utilisation son énergie est épuisée et le porteur revient à son armement précédent, sa plus grande utilité est contre les boss et cette arme peut être assemblée à plusieurs reprises durant la partie, dans le mode 2 joueurs c'est celui qui recueille la sixième pièce qui est équipé avec le canon lourd.
J'ai souvenir d'avoir dit "je n'aime pas les Run and Gun", j'avais du dire "je n'aime pas les mauvais jeux" car en réalité il suffisait de faire un bon jeu, pas trop difficile dans lequel on prend plaisir a jouer, un bon jeu en somme et une vraie surprise vu ce que j'ai vu avant.
Magic Jewelry est un jeu vidéo de réflexion sans licence s'inspirant de Columns, programmé par Hwang Shinwei et publié par RCM en 1990, il apparait souvent dans les consoles Chinoises sous Coin Tetris, Abacus, Jewel Master et autres copies, jouable a 1 joueur.
L'image faite par moi même présente "Magic Jewelry" (a droite), un jeu sans licence s'inspirant de "Columns" demeurant un bon jeu de SEGA, lui même servant d'inspiration a "Abacus" (a gauche), moins flatteur visuellement que j'avais décidé de ne pas présenter.
Magic Jewelry présente New York avec sa statue de la liberté, des nuages, des étoiles et le croissant de lune qui se déplace à plusieurs reprises de bas en haut figurant sur l’arrière plan, Abacus lui présente une vue du ciel en contrebas avec une sorte de fée?
Les amateurs de Tetris (Nintendo), Puyo Puyo ou Mean Bean Machine (SEGA) ne doivent pas être trop dépaysés avec Magic Jewelry (et Abacus), ceux de Columns (SEGA) pas du tout vu qu'il s'agit exactement de mécaniques identiques, dans lequel les scores sont obtenus avec la combinaison de lignes composées de trois bijoux colorés ou plus (horizontalement, verticalement et en diagonale), grâce à l’utilisation d'une pièce de une, deux ou trois couleurs tombant dans une grille de jeu rectangulaire, une fois 3 couleurs combinée font disparaitre la pièce, le joueur gagne des points bonus si une réaction en chaîne (combo) se produit à ce moment, par moment une pièce "X" tombe et fait disparaitre toutes les pièces de la même couleur que celle sur laquelle elle a atterri, si l’écran était vide a ce moment précis le joueur obtient un score normal, le jeu se termine lorsque une pièce touche le bord supérieur de la grille.
Compliqué d'expliquer les mécaniques du jeu a l’écrit, et si ça vous parait compliqué en me lisant c'est juste une impression, le tout est assez simple a assimiler et si jamais l'envie vous prend d'essayer, sachez que mon record perso est a 300k points, un bon jeu.
The Trolls in Crazy Land est un jeu vidéo de type plateforme a défilement d’écran horizontal vers la droite développé par KID et édité par VAP sorti en 1991 sur Nintendo Famicom, jouable a 1 joueur, la version européenne remplace le personnage principal.
Le joueur contrôle un garçon avec un casque de baseball nommé Ponpon attaquant ses ennemis en tirant dans des balles afin de sauver sa petite amie d’une force inconnue à l’intérieur d’un parc d’attractions, plus il est blessé, plus il fait de dégâts aux ennemis.
On a affaire a un jeu de plateforme reprenant les éléments et mécaniques traditionnels des jeux de plateforme de l'époque sauf que le partie prit graphique donne un effet de profondeur plutôt réussi mais egalement une mécanique de gameplay qui fait en sorte que plus le joueur est blessé plus il fait des dégâts, a part le fait de le constater on peut le voir visuellement car le personnage principal Ponpon (version Japonaise) ou un pantin (version Européenne) tire des balles différentes selon son niveau de santé, le level design est plutôt réussi et dans le parc d’attraction vous serrez confronté aux clowns et divers ennemis correspondant a ce thème, chaque niveau se terminant par un Boss et une fois chacun des niveaux terminé vous donne droit a un mot de passe histoire de ne pas tout refaire, ce qui est plut une bonne idée vu que le jeu instaure quelques lourdeurs dont des endroits ou il faut patienter et d'autres qui ont des relents de "die and retry" ou il faut retenir certaines choses afin de pouvoir progresser sans se soucier.
Il est a savoir que j'ai joué a la version Japonaise du jeu, donc avec Ponpon, et dire qu'en Europe on a eu droit a une poupé immonde pour en faire la promo si j'ai bien compris..., je m’attendais a une bouse en lançant le jeu mais il s’avère plutôt sympa a jouer au final.
Michael Andretti's World GP (connu au Japon sous le nom de F1 Hero) est un jeu vidéo de type simulation de course de F1 développé par Human Entertainment et édité par Varie pour Nintendo Famicom en 1988 et Nintendo Entertainment System en 1990, 2 joueurs.
Le titre sous le nom du pilote Américain d'Indycar Michael Andretti propose le calendrier complet des 16 tracés officiels de l'époque, du circuit de Monaco, en passant par Hongrie ou encore le Canada, il propose egalement 4 voitures différentes, jouable a 2 en splité.
Le mode "Grand Prix" (en plus du mode practice et 2 player) était unique tant il s’écartait de la plupart des jeux de course sur console de son époque, au lieu d’être un jeu de conduite de style arcade, World GP ressemble plus à un jeu de course de simulation, c’était le premier jeu de course à mettre en avant les licences (bien que tous sauf Andretti avait des pseudonymes), quatre voitures différentes proposé, cependant il n’y avait pas de réglage une caractéristique souvent associée à des simulations de course, considéré comme difficile, les 16 circuits du calendrier de la Formule 1 ont été reproduits avec précision ayant à la fois des virages pointus et larges ce qui oblige les joueurs à ralentir en baissant les vitesses pour les virages qui ne se résume pas juste a "Slow/High" par rapport a d'autres jeux, certaines courses ont nécessité des dizaines de changements de vitesse par tour, l’usure des pneus est prise en compte et les joueurs tenus de les changer au moins une fois par course pour demeurer compétitifs au pit stop représentée par un cône, pour se qualifier il faut faire partie des 4 premiers sous peine d’être spectateur pour la course, la moitié supérieure de l’écran dispose d’une carte du circuit et la position des voitures représentées par des icônes (gâchant certes la moitié de la visibilité mais étant très très utile).
Lorsque plusieurs voitures sont sur la piste le jeu ne prend pas en compte les collisions entre les véhicules, fini les explosions, le jeu étant assez difficile on a acces a un mot de passe qui nous permet de continuer la cariere sans tout refaire, un jeu sympa.