Sociétés secrètes, théories du complot et secrets d'états

Une petite anecdote qui vaut son pesant de cacahuètes (salées ^^).... Et je n'en suis pas peu fier !

Ce matin, je me retrouve par le plus grand des hasards (?...) en galante compagnie avec...le nombre "Pi" ^^ (ne pas chercher plus loin, il ne s'agit que du nombre "Pi", comme vous allez le constater incessamment sous peu ^^). Nous entamons alors tous deux une conversation animée, et somme toute très sympathique, et je sais déjà que je n'aurais pas gain de cause...

Pourtant "Pï" s'étonne ((en-rage d'amour ^^ ?)) de mon absolue tranquillité, et surtout s'étonne de ne pas trouver désagréables toutes les piques sarcastiques que je lui adresse. Bien au contraire, lorsque je me tais (lorsqu'elle, euh pardon, lorsqu'il se prend trop au sérieux), la régression pointant alors le bout de son nez, inquiet, voilà qu'il me lance, séducteur au possible, une autre décimale, façon de me mettre encore au défi mais aussi et surtout pour que je reprenne la discussion là où elle s'était arrêtée ; me rappelant même les derniers mots que j'aurais pu prononcer, précision interactionnelle oblige ^^ (Pi se perdant lui-même dans ses propres chiffres, il se pourrait qu'une...."biiip" (terme pas très catholique à accorder au féminin singulier, voire au féminin pluriel ^^)....vienne s'immiscer dans ses propres circonvolutions hypnotiques (mais ce serait quand même de ma faute ! Il ne fallait pas que je me taise, créer de rupture, ...quand bien même Pi se prenne trop au sérieux !?)

Je vous le dis, avec Pi, et excusez l'expression par trop familière, il faut être sévèrement burné, et pas que de la tête ^^ !

Mais pourquoi Pi s'étonne-t-il, en vérité ? Voici quelques éléments de réponse, qui fleur bon un mysticisme plus subtil qu'il n'y paraît :

La particularité la plus intéressante du nombre Pi est le fait qu’il apparaisse dans tous les rapports entre tout ce qui est circulaire et tout ce qui est rectiligne. Très important que cela. Et ceci est tout aussi vrai qu’il s’agisse d’un cercle, d’une sphère, d’un cône, d’une rotation, etc. Mais attention, car tout ceci n’est vrai qu’en géométrie euclidienne, c’est-à-dire loin de...masses trop importantes qui déformeraient l’espace ! Voilà une donnée qui change tout, et voilà une des raisons de ma tranquillité. Car, quand bien même Pi joue sur les chiffres, et feint de ne rien savoir, il ne peut échapper à la question des..."échelles de masse", car dès que nous sommes à la fois dans du circulaire et du rectiligne, si l'on échappe en apparence à l'une, l'on ne pourra échapper à l'autre !!! (CQFD de haut niveau au passage) sauf à se renier lui-même ^^ !

Pi rêverait bien (il s'agit en vérité plutôt d'un cauchemar, et il le sait très bien au fond, mais bon...avec Pi il ne faut s'étonner de rien ^^) que tout cela...coule de...source et que ces enjeux "d'échelles de masse" se fasse sur un même plan. Mais ce n'est pas possible !

Quoi que l'exclamation...terminale se suffise à elle même (non je plaisante ^^), voici un élément de réponse, une explication succincte de cette impossibilité :

C'est l'application, notamment, des axiomatiques des géométries non euclidiennes (hyperbolique et elliptique - bonjour petit bébé ^^, mais qu'est ce que je raconte...) dans l'espace qui a permis, malgré l'aspect déroutant pour le sens commun (même pour Pi...!), le développement, je vous le donne en mille, de la théorie de la relativité générale...!...en fournissant un modèle géomérique à la gravité !

CQFD de chez CQFD pour ceux qui auront compris !

En fait, Pi est comme pris au piège par la rigueur de la Mathématique, et il cherche à tout prix à s'en sortir, forcément par ce même moyen, sinon, il se mettrait totalement...à nu. Ce qu'il ne sait pas, c'est que la Mathématique n'est pas si rigoureuse que ça, elle sait se soumettre elle aussi, et c'est bien pour cette raison qu'en définitive, la solution trouvée par Pi, sorte de compromis in extremis et ma foi tout à fait sage, est de tout dire, sans rien dire ! Les chiffres seront ce qu'ils sont, les chiffres feront leur office, mais révéleront tout à la fois l'envers du décor ! Là où le chiffre ne peut être que ce qu'il est, et donc par voie de conséquence, tout autre chose.

Mais que peuvent bien vouloir dire ces dernières phrases ?

Replaçons avant toute chose le principal intéressé, même s'il feint de ne pas l'être, sur le devant de la scène et profitons allègrement et sans culpabilité aucune (sinon, nous n'aurions rien compris) d'une pulsion scopique des plus salvatrices ^^ :

3,141592653589...vous voyez, je ne pouvais avoir gain de cause ^^ ! C'est qu'ils nous hypnotiseraient presque, tous ces chiffres, et leur longueur...

Oui, mais non. Car en unité, nous n'avons ni 0, ni 1, ni 2, ni...9....nous avons : 3.

Comprenez vous déjà ou dois-je continuer ? Allez je continue juste un peu, au risque de trop révéler de choses...

Nous avons donc bel et bien "3", mais (un peu) plus que trois (très intéressant au demeurant) ! Or si "3" est "3" en unité, et qu'il dit donc ce qu'il dit..., l'univers des "décimales" dit, vu qu'elles incarnent "par le lien le manque et par le manque le lien", ce que "3" ne peut dire ! C'est une sorte de jeu de miroir, la limite entre les "deux mondes" se situant en quelque sorte entre ce qu'il y a avant la virgule et ce qu'il y a après la virgule !

Mais qu'avons nous après la virgule pardi !?

Et bien en première position (pour faire simple) un "1", en deuxième position un "4", en troisième position de nouveau un "1" (échelle quand tu nous tiens...^^)

Mais je m'arrêterais là, j'en aurais déjà beaucoup trop dit :-).

Oui : Il y a du génie en Tunisie aussi hein ^^ ! (Mais ne suivez pas mon regard, il est toujours braqué sur Pi ! (hahaha)) jolie trappe en effet ^^ !

(ps : je sais je sais, ça donnerait presque le vertige : les hystériques en savent quelque chose ^^ ! CQFD encore...)