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Horizon Zero Dawn (47/47)

Dernière partie de l'épopée Horizon Zero Dawn

157 Commentaires

Portrait de Link_Triforce

Le jeu est sur pc depuis 7 aout 2020, avant étais sur ps4 en 2017


Portrait de Aurelien LG

Tu as fait le jeu en mode très difficle mais il existe un mode de difficulté supérieur, qui change beaucoup de choses : le mode ultra difficile.

Dans ce mode les machines sont plus résistantes aux dégâts élémentaires (feu, glace, électricité) se font moins facilement arracher leurs composants et sont très difficilement renversées lors d'attaque au CAC.
De plus, les armes et armures coûtent beaucoup plus chères (5 à 7 fois plus chère !), ce qui rend impossible pour le joueur de tout acheter rapidement. La progression est donc plus lente et linéaire.
De plus, l'artisanat demande plus de ressources et les plantes de soins que l'on ramasse nous donnent moins de santé.

En somme on se retrouve avec moins de soin, face à des machines qui font plus de dégâts tout en étant plus résistantes.
Le joueur se voit obligé d'utiliser tout l'arsenal à sa disposition.
Dans la première moitié du jeu, j'ai utilisé des armes assez moyennes face à des mobs pourtant redoutables.
J'étais en permanence en manque de soins et de ressources. L'ensemble crée une sensation de vulnérabilité face à ces machines immenses et redoutable.
La fuite est souvent à privilégier quand on fait face à plusieurs ennemis.
J'ai utilisé en grande majorité le lance-piège, le lance-corde, la fronde explosive et les pièges, c'est-à-dire toutes les armes que tu n'as pas utilisées !

A la fin de l'aventure, je m'étais servi de toutes les armes, qui sont autant viables les unes que les autres, fait suffisamment rares pour être relevé.

Cette difficulté m'a parue très équilibré et me donne l'impression d'être celle imaginée initialement par les devs.

Ce fut un grand plaisir de parcourir cette univers, qui n'est certes pas dénué de défauts mais qui offre des combats épiques et un scénario étonnamment réussi :)


Portrait de Aurelien LG

Ne sachant pas si quelqu'un a répondu à ta question sur Hades, je me permets d'y répondre. Même trois ans après, mieux vaut tard que jamais !

Gaia, l'IA crée par les anciens pour repeupler la terre dispose de sous système portant le nom des différents dieux grecs.

Appolon est le programme visant à sauvegarder la connaissance de l'humanité pour la transmettre aux futures générations.
Artémis est le programme visant à envoyer un signal pour désactiver les robots Faro (machines destructrices).
Héphaïstos est celui visant à produire les machines dont le rôle est de purifier l'environnement.
Ilithye a pour rôle de faire fonctionner les utérus artificiels de façon à faire naitre de nouveaux humains.
Enfin Hades a pour fonction de détruire les tentatives de Gaia si les formes de vie crées ne sont pas viables. Ainsi, la vie sur Terre doit être détruite encore et encore jusqu'à ce que l'IA considère que les organismes crée peuvent survivre de façon pérenne.

Dans le scénario, Hades s'émancipe de sa fonction initiale et agit pour détruire toute forme de vie même si cette dernière est viable. Gaia s'autodétruit (ainsi que tous ses sous programmes) pour éviter cela mais des millénaires plus tard, Hades se fait réveiller par Sylens.
Voilà, tu sais tout pour briller en société ;)


Portrait de derwich

Et bien voilà, après presque un an, c'est terminatated. Franchement, cette "épopée" était loin d'être mauvaise.
En fait, ce jeu est l'anti Zelda BOTW, dans la manière où il est une démo technique en dépit d'être une véritable expérience vidéoludique pour le joueur qui créent directement de la matière en son sein.
Le plus grand problème de tout le bouzin est que ce titre n'est qu'une coquille vide. C'est un peu violent mais tout son intérêt réside non pas dans l'exploration, comme tout Open World, par définition, mais dans le gameplay pur et l'expérience immédiate. Quid de la recherche, dialogues évolués avec les PNJ, loots intéressants (style objets rares et utiles. Les glyphes sont très mal intégrées car trop nombreuses, tout comme les tenues et les armes, directement à acheter) et surtout de véritables moments uniques conditionnés par la curiosité. Certes, tous les développeurs ne sont pas Monsieur Nintendo mais, quand même, comment justifier de nos jours un tel manque d'intérêt ? Aucune maison n'est visitable, pas d’interactions avec quoi que ce soit, ou trop peu/inutile, aucune surprise scénaristique et visuelle (un comble) en période de "visite", les quêtes secondaires sont une vaste blague, bref, un gros manque de challenge en somme, même pour la difficulté maxi ce qui est terriblement dommage. La slow mo est bien foutu mais simplifiant un poil trop le système de combat, elle en viendrai presque à annihiler le très bon et efficace système de fight. Arrêtons d'encenser ces jeux juste pour leur caractéristiques plastiques, mais faisons preuve d'esprit critique en analysant leurs caractères intrinsèques. Ici, et bien, ce n'est (vraiment) pas si mal, il faut l'avouer. Le scénario se déploie avec respect pour le joueur et intelligence, bien qu'il faille attendre au moins le dernier tiers du jeu. Bien évidemment ce qui est évoqué avant est une prolongation scénaristique faiblarde afin de graduer de manière artificielle la tension et la durée de vie (les arcs narratifs relatifs relatif au Roi Soleil sont, en effet une catastrophe objective dans la mesure où elles n'apportent que très peu à l'univers, alors que tout transite par Méridian et qu'évidemment il est sensé être une bonne partie de l'organe de ce jeu mais en fait, force est de constater que tout n'est qu'une succession et accumulation vide de scènes sans grandes corrélations dramatiques entre elles. Et ce n'est même pas un problème consécutif à la façon de jouer du Gros Ours, du fait de sa non lecture de tous les documents (foutage royal de gueule), il se flagellera pour cela, mais juste du fait que le véritable scénario d'Horizon n'est pas introduit ou ne devient pas plus intéressant, mais naît en tant que tel à partir des hologrammes explicatifs qu'on a pu voir il y a quelques parties. Une aberration en soi. L'enfance de Aloy avec Rost aurai, par exemple grandement gagné a être bien plus travaillée et approfondie, même en terme de durée). Certains personnages comme Sylens sont quand même assez profonds.
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Voilà qui en dit long sur ce que les joueurs recherchent. Mais cependant, quand le coeur du scénario se révèle, Horizon, prend une ampleur inattendue, qui en plus de lui donner le corps qui lui manquait, lui octroi des allures de fable qui sont étonnamment intemporelles et profondes. Je n'ai pas peur en ce sens de dire que les dernières heures du scénario sont réussies (on n'aurai pas parié un gros kopeck dessus, quand même !) et que la mise en scène est vachement bonne. Particulièrement lors des plus grandes phases du jeux qui ne sont pas les combats contre les machines, ce qui est l'essence même du jeu, mais lors de morceaux de bravoure comme les pseudo cinématiques sous forme d'hologrammes et notamment celles de
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Horizon n'est jamais aussi intéressant que quand il dépeint l'ancien monde (le notre) et son extinction (qui ne saurai tarder grâce à tonton Donald et Kim) et, à l'inverse, aussi faible dans la création d'un univers potentiel, mais virtuel avec les Carja et les Nora (c'est pas bien ça Monsieur Guerrilla. C'est pas bien du tout). On ressent ici les échecs, même récents de la sphère vidéoludique sur ses autres concurrentes canoniques qu'elles soient cinématographiques ou littéraires dans la création d'une civilisation intégrée et intéressante, tout en gardant en cohérence.
Mais, peut-on véritablement parler de claque graphique ? Celle qui est, peut être la cause de la limite du contenu annexe est d'une telle maîtrise (c'est souvent le cas dans ce genre de jeux) qu'elle opère sa petite révolution comme Red Dead (les deux jeux ne sont finalement pas si différents) ou plus récemment, comme The Witcher 3 l'a opéré. Que ce soit les robots, formidables dinosaures high-tech qui peuvent imploser en pièces détachées dans de grandes séquences de gameplay intéressantes avec leurs points sensibles (qui auraient pu mieux être intégrés). Nombreux et articulés, animés avec un brio inégalé ou les éclairages, décors, végétations, cet univers est, nonobstant, vide de sens comme de contenu mais d'une telle beauté qu'elle viendrai presque éclipser ces défauts majeurs (et c'est bien le problème). La surenchère, classique et critiquable des combats de la fin du jeu, son manque cruel de véritable contenu secondaire ainsi que les innombrables lacune scénaristiques de la première moité du jeu, les quelques (rares mais visibles) problèmes techniques (genre les bugs mais surtout le "popage" des textures pendant les cinématiques, qui fait tâche avec la synchro labiale un peu dans les choux !) donnent malheureusement à cette expérience un sentiment d’inabouti. Aussi, quel dommage pour les Grands-Cous, tellement bien modélisés qu'il aurai fallu en intégrer plus, avec éventuellement des "énigmes" ou un système d'escalade plus coriace pour atteindre leur sommet. L'OST ne vient pas pallier ces critères en les couvrant par des thèmes marquant (le jeu propose rarement des vraies musiques en période dites "d'explorations"), ce qui est, une fois encore à déplorer au vu de la grande qualité de certaines, surtout vers la fin du jeu, bluffantes car épiques ou simplement belles. De même, les combats, particulièrement nerveux et bien orchestrés manquent après très peu de temps, finalement, d'originalité. La méthode flèches de choc + gel + bourrinage paye (une fois encore) sur tous les mobs, une tristesse quand on sait que le noyau dur du jeu lui est lié. On relèvera aussi les incohérences ô combien désirées par nos sociétés qui brident les jeux-vidéos à leur image et obtiennent donc (et c'est aussi triste que dangereux), tout de ce qu'elles réclament (et ça vaut tant pour les théories de GoT que pour leur frustration à la sortie d'un film comme Star Wars 8 qui, en s'affranchissant des règles établies, propose un nouvel empire [c'était petit, je le concède :p] basé sur l'originalité, du second degré et une prise de recul infiniment gratifiants, mais d'une rareté effrayante pour le futur global de nos générations, établies par un lien de causalité simple avec les critiques, ce récent métrage, n'a fait, malheureusement que le confirmer. Des spectateurs ont d'ailleurs expliqué que le film était mauvais dans la mesure où les fans avaient plein de théories et qu'aucune n'y étaient présentes et que bien entendu, il relevait de la parodie. De bien beaux commentaires). Celles-ci passent tant par les phases presque dorénavant imposées, d'escalades inutiles (je rejoint de Hooper sur ce point) car elles n'ont aucun contenu réel, et, comme l'intégralité de ce jeu, est une illusion magistrale, ainsi que celles de nage (celles qui l'illustre peu être le mieux), la collecte juste relou des composants utiles que seulement pour l'immédiateté de l'action et non pas d'uniques items, comme annoncé par notre Gourou. "L'arbre de compétences" en est une nouvelle preuve, comme si il en fallait une. L'évolution par mode de niveaux est également particulièrement grotesque. Pourquoi n'avoir pas osé le vrai RPG poussé en proposant des compétences utiles, intéressantes qui, en plus, catalysent l'exploration ? Ici, comme dans des certains Far Cry, tout n'est que classicisme au sens marginal du terme, du fait de ce conformisme de groupe qui gangrène tant de jeux. Notre Horizon ne change pas la donne, mais, au contraire, la complète. Nul n'est en droit de juger les individus en fonctions de leurs avis et goûts mais force est de constater que personne ne fait non plus l'effort de critiquer avec intelligence et un esprit éclaire ce système qui ne répond qu'à une logique bien définie d'une insertion unique de l'art dans nos vies. Il est appréhendé de manière usuelle, financière et uniforme à tous les individus.
Ce jeu, n'est en aucun cas une bouse, loin de là, mais ce qui pouvait (et devait d'ailleurs) être une semi-révolution sur tous les points n'est qu'un énième jeu de masse qui ne fera donc pas date dans l'histoire du jeu vidéo.
Le Hoopy a eu le mérite de nous refourguer toutes ces vidéos en qualité optimale à un débit tout à fait raisonnable pour être regardable et il faut l'en congratulanater plutôt que de s'exciter gratuitement. Il nous propose du contenu, rappelons-nous quand même qu'il ne le fait pas pour nous embêter voyons ! Même si l'enthousiasme a pu faillir (ce n'est bien évidemment jamais arrivé...) dans certains passages de désolation (genre pour les quêtes du mec avec sa famille inutile et son charisme de Bogdanoff atrophié et muté avec un Casimir en phase terminale, n'est-ce pas ?!), il arrive ce qu'il se passe toujours dans les vidéos de l'Ours, un inextricable sentiment de bonheur et de fascination, liés sans doute par son charisme naturel (oui, il m'a filé un chèque). Donc toutes les critiques négatives se doivent de plus cibler le jeu que le Hooper, qui, même si il jouait à la pire daubasse de tous les temps, parviendrai à le rendre intéressant, et ce, non pas en la critiquant ou en trollant (une facilité bien utilisée actuellement... Ça va les Youtubers dont il ne faut pas prononcer le nom ?), mais en l'insérant dans un contexte, tant vidéoludique que personnel. Et ce, tout simplement mis en exergue par son attitude intéressée et car il ne critique pas gratuitement.
Enfin, ce Horizon mérite quand même le coup d'oeil, puisque outre toutes ses caractéristiques intrinsèques discutables, il est une oeuvre, plus importante qu'il n'y paraît et d'une grande influence pour ce secteur de divertissement, opérant, en ce sens un humble revirement. Ce qui s'avérait être une révolution technique est en fait une révolte sociale, à laquelle de plus en plus de domaines adhèrent. Ceci est mis en lumière, et il s'agit de la plus grande force implicite du jeu, par la présence d'un conte ancré dans nos sociétés et civilisations en montrant une grande diversité, recréée en un microcosme ethnique réjouissant, ainsi qu'en présentant un monde désolé, plus que jamais rongé par le désastre écologique et dresse, par la présente, ce qui est incontestablement la plus belle réussite d'Horizon, Aloy, magnifique portait de Femme. Ici, elle n'est non pas mise en valeur pour ses caractéristiques physiques ou pour son côté badass supposé la rendre charismatique (désolé Lara, je t'aime quand même), mais par le fait qu'elle occupe le rôle principal, presque exclusivement et par opportunisme, délivré aux Hommes; et ce, grâce à sa sensibilité et son intelligence ainsi que par le fait qu'elle est systématiquement posée sur un même pied d'égalité avec ses partenaires masculins.
La beauté du langage de ce jeu, qui est à terme, induite est que l'avenir est conditionné par l'entraide, le respect de l'écologie et surtout, l'égalité Femme/Homme. Ce discours Féministe affirmé et incroyablement respecté tout au long de l'aventure, exprime le prisme absolu du respect entre les être doués d'une condition "Humaine" ou Féminine, cela importe peu.


Portrait de Yoan Hooperien

C'est incroyable ! Jamais vu un autant long pavé xD. Tu est le roi des pavés !


Portrait de Ic3storm_

Pourquoi j'ai tout lu ? Je me le demande encore...


Portrait de derwich

Grossière erreur de débutant ça :p


Portrait de Hellipsir

Oooh, un bien beau pavé à lire, cool : ) .

Ce que j'ai bien aimé dans ce jeu, outre les combats avec les machines et la qualité de leur design, c'est le choix de cette fin délicate et presque discrète, pour un jeu qui est un tel blockbuster, avec

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Alors oui, la fin est une toute petite partie du jeu, mais savoir finir une histoire dans un jeu qui se veut justement avoir une histoire relativement ambitieuse, c'est vraiment important, à mon sens.


Portrait de derwich

Absolument d'accord et fine analyse ! Cette fin fait en effet plus penser à celle d'un "film d'auteur" que de relever directement d'un blockbuster. C'était d’ailleurs assez inattendu de la part d'un jeu aux moyens pharaoniques. Tout comme le boss de fin

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Et ça c'est plutôt du bien joué Guerrilla ! Dommage qu'il n'y ai pas plus de moments forts et apaisés comme ceux-ci.


Portrait de Apolline

Citation:
Le plus grand problème de tout le bouzin est que ce titre n'est qu'une coquille vide.

Effectivement c'est un problème :v


Portrait de derwich

N'est-il point ? ;)


Portrait de miyamoto

Je me fait un Grand café
et je lit ce petit texte. XD


Portrait de derwich

Venant de Monsieur Shigeru, c'est un honneur :p
Tu peux aussi faire péter l'Orangina (tous sponsors déposés bien sûr), il paraît que ça excite. C'est mon petit doigt qui me l'a dit !


Portrait de snarf

Ce boss de fin...47 parties pour finir sur un truc comme cela...Dur...


Portrait de Kuroe-sama

ENFIN! Le bout de l'épopée d'Horizon-long-long! Rendez-vous compte ça fait 9 mois et 2 jours que le Hooper a posté la 1ère partie du jeu! 0 . 0 Horizon j'ai pu suivre régulièrement jusqu'à la partie 20-23. Après j'ai arrêté car je me suis lassée. Puis je suis revenu sur les parties 35-36 pour voir où tu en étais. Bon évidemment j'étais un peu larguée mais j'ai réussi à reprendre le le fil et à comprendre un peu l'histoire. J'insiste sur le un peu. En tout cas l'avantage avec le jeu c'est qu'il a enrichi mon vocabulaire technique! Pour briller en soirée... X)


Portrait de Ploum

Le jeu avait un gros potentiel. Dommage que la seule activité proposée, d'après la run du Hooper, est de tuer des dinos robots.

A la limite si ce jeu aurait limité la narration, viré les pnj, et focalisé sur son point fort, qui sont les ennemis mécaniques, on aurait pu avoir le Monster Hunter, ou sinon le Shadow of The Colossus, occidental. Et je pense qu'on serait passé d'un bon jeu, à un jeu marquant.
Mais bon il parait qu'il y'a une checklist à cocher avec quêtes à gogo et ennemis humains.


Portrait de yaldabaoth

alors pour moi, j'ai pas regardé le début de cette épopée car je ne voulais pas me spoiler le jeu, puis je vais fini en avril au bout de 90h en ayant fait enormement de choses dans le jeu. Je vais pas polymiquer 20 ans, j'ai beaucoup aimé le jeu, le scenario notamment et j'appréhendais l'avis du gros ours, n'ayant pas le courage de mater toutes parties, j'ai préféré attendre la fin pour le diagnostic.
Je suis assez d'accord avec hooper en globalité sur les points négatifs du jeu, mais le fait qu'il dise que c'est un bon jeu, j'en suis rassuré ! Son jugement est juste, une preuve que le gros ours a la tete sur les épaules et n'est pas de mauvaise foi quand il juge un jeu !


Portrait de DoctorMickeyHouse


Portrait de LeKrakoukas

C'est "Vieux motard que jamais" , si tu veux vraiment briller en société ! ;)


Portrait de DoctorMickeyHouse