Faut une réadaptation de la mort en animé de Slam Dunk. Comme ça, vous comprendrez que tous les animes sportifs parus jusqu'à ce jour, bah c'est de la merde.
VA CHIER!! le best c'est IPPO !! :D
Et puis bon avec tout les remake qui nous font tu pourrais peut être le voir revenir dans une version encore moins bien animes que le premier du nom !! Donc je serais toi je l'attendrais pas trop le remake de Slam Dunk !!
Slam Dunk, ça se lit. T'façon, l'animé de base pue du cul, c'est abusé. LISEZ SLAM DUNK BORDEL DE MERDE ! Ah et Ippo c'est de la baston pour moi, mais ouais, c'est de la bombe.
Lu les deux premiers tomes de Last Hero Inuyashiki de Oku sur les bons conseils de Dano ;)
Inuyashiki est un père de famille looser et pathétique. Sa famille le déteste et socialement, il est inexistant. Lors d'un incident pour le moins étrange, il se retrouve affublé d'un corps cyborg dont il découvre chaque jour de nouvelles fonctionnalités. Grâce à ce potentiel infini, Inuyashiki décide de devenir un héros et d'aider un maximum de personnes. Mais un jeune homme présent au moment de l'incident et affublé du même corps pourrait bien faire le choix inverse...
Je crois comprendre pourquoi Dano a exprimé à la fois de l'enthousiasme en même temps qu'une certaine réticence en présentant cette série. Ça se se bouffe, l'histoire avance bien et Hiroya Oku développe un univers SF intéressant transcendé par un dessin magnifique. Le tout est saupoudré d'une dose d'hyper-violence chère à l'auteur et qui était déjà sa marque de fabrique dans Gantz. Les soucis se situent toujours aux mêmes endroits chez cet auteur. Pas une once d'explication, même pas un peu, sur le pourquoi du comment et des clichés à foison sur la société nippone. C'est simple, on a l'impression qu'il y a des rackets et du harcèlement à tous les coins de rue et que Tokyo est une sorte de far west où on peut se faire tabasser à tout moment pour un oui ou pour un non. Mais c'est aussi une marque de fabrique de Oku, cette stylisation et cette exagération à outrance, aux portes de la caricature. Tout est amplifié pour laisser libre cour à une dramaturgie débridée qui peut se permettre de partir dans tous les sens. Si vous cherchez le réalisme, vous serez déçu. Je suis pas fan pour le moment, mais j'attends de voir le développement de la suite. Le duel entre Inuyashiki et l'autre cyborg promet d'être épique.
Lu Hokuto No Ken, Ultimate Edition Tome 11 de Buronson et Hara.
Kenshiro est parti sur l'autre continent récupéré Lynn. Une fois surplace, il doit combattre trois guerriers d'exception, héritiers du Hokuto Ryûken, une branche maléfique du Hokuto Shinken. Kenshiro saura-t-il s'en sortir face à ces monstres? D'autant plus que les démons du passé ressurgissent.
L'univers de Hokuto No Ken est toujours plaisant à retrouver. Une empreinte unique qui a profondément marqué le manga au début des années 80, révolutionnant les récits d'arts martiaux classiques en transposant les combats dans un univers sans pitié à la Mad Max. Sa célébrité n'est pas en reste encore aujourd'hui. Cependant, si les affrontements entre les grandes étoiles du Hokuto est jubilatoire, on ne peut s'empêcher de ressentir une lassitude face à l'extrême répétition de la structure narrative. En lisant les tomes avec plusieurs mois d'écart, cela passe encore, mais si vous décidez de tout vous enfiler d'un coup, prenez garde à l'indigestion. Depuis la fin de Raoh et en déplaçant leur héros sur un continent inconnu, on pouvait penser que les auteurs changeraient de formule, mais il n'en est rien: Menu fretin et big boss se succèdent, comme dans un jeu de Beat Them All. Les fans convaincus diront qu'on ne change pas une recette qui marche, j'aurai plutôt tendance à dire que c'est dommage...
Lu les deux premiers tomes de Last Hero Inuyashiki de Oku sur les bons conseils de Dano ;)
Si tu veux un bon gros conseil sans Fan-Boyissme derrière (c'est une blague je suis un gros fan-boy de ce mec là), tu devrais lire Poison City de Tetsuya Tsutsui surement le meilleur truc que j'ai lu de cette année en plus d'être bourré de référence au manga/anime en général le manga est une critique réaliste à la vie d'auteur/mangaka qui en chie à mort lorsque leur manga sont considéré comme dangereux pour la société. Ceux qui connaissent l’histoire de Ashita no Joe doivent surement avoir tilté tout de suite de quoi il en retourné. C'est en Deux Tome et c'est un gros Hit comme l'était Prophecy avant cela. D'ailleurs un spin-off à Prophecy va sortir fin 2016 si j'en crois la brochure surprise à l'intérieur du Tome 2 de poison city.
Sinon voici mes achats manga du mois. Je me suis un peu lâché je l'avoue :p
Manga Pantoufle ▼▲
Barakamon Tome 7 à 10, Kill la Kill (de la merde pur jus) Dernier Tome, Ao Haru Ride Tome 9 à 11 et Orange Tome 3 et 4
Manga Serious Business ▼▲
Prison School Tome 3 à 6, Terra Formars Tome 6 à 12, Lady boy VS Yakuza Tome 4 (Un Chef D’œuvre de connerie !!) et Poison City Tome 2 (dernier tome)
Lu les deux premiers tomes de l'édition de luxe de Rainbow de Abe et Kakizaki.
Dans le japon d'après-guerre, 6 jeunes délinquants condamnés pour des faits mineurs sont placés en maison de redressement pour mineurs. Placés dans la même cellule, ils font la connaissance d'un septième détenu, qui deviendra leur modèle à tous. Les sept détenus vont nouer des liens d'amitié extrêmement forts et apprendre à surmonter les terribles épreuves qui se profilent devant eux. Car la dureté du système carcéral de cette époque était loin d'être une sinécure. Rêver de liberté est tout ce qu'il leur reste...
Cette édition de luxe de Rainbow rassemble 3 tomes par volume. Ces deux premiers volumes rassemblent donc les 6 premiers tomes de la série. Rainbow parle avant tout d'amitié et de courage. Dans ce Japon d'après-guerre en proie à la misère et en pleine mutation, ces adolescents ne peuvent compter que sur eux-même pour s'en sortir. Les sept jeunes hommes sont différents et pourtant unis, comme les couleurs de l'arc-en-ciel. La force du manga est que l'auteur, George Abe, qui a vécu à la même époque que ses protagonistes et qui a vécu la plupart des épreuves qu'ils rencontrent, croit fermement à ses propos et aux valeurs qu'il défend. Il les véhicule avec une ardeur et une spontanéité à toute épreuve. Cela peut paraître quelquefois naïf et trop idéalisé, mais cette sincérité force le respect et parfois même émeut. Malgré les évènements tragiques et les difficultés traversés par les jeunes hommes, l'optimisme triomphe. Le manga est dessiné par Kakizaki (Green Blood, Hideout) et bien qu'il soit à ses débuts, on reconnaît déjà la finesse et la maturité de son trait. Sans compter son inégalable compétence pour dessiner les traits de la perversité humaine sur un visage humain. Rainbow est une belle leçon de vie et d'humanisme. Je le conseille à tous.
AWIII!
J'avais vu le premier tome a cultura: j'avais vu un tôme de manga aussi ÉNORME ( au sens propre du terme): il est tellement épais. Les dessins m'ont paru bien collé à ce que j'avais vu dans l'anime
Spoiler ▼▲
le docteur dégueulasse weirdo: des dessins à la hauteur de la pourriture de ce mec. Il donne simplement envie de gerber mon dieu
VA CHIER!! le best c'est IPPO !! :D
Et puis bon avec tout les remake qui nous font tu pourrais peut être le voir revenir dans une version encore moins bien animes que le premier du nom !! Donc je serais toi je l'attendrais pas trop le remake de Slam Dunk !!
Even if victory is dying, a battle is never lost before.
MAL Profil
Session Fêtes de Bayonne 2016
N'oublions pas Major dans le registre aussi, putain quelle oeuvre.
-Topic Overwatch[MAJ soon promis :p]
assis tot?
ben faudrait le refaire avec l'animation de ippo (version 99 pour coller au style) car ça a violemment vieilli(la 1ere série surtout).
Slam Dunk, ça se lit. T'façon, l'animé de base pue du cul, c'est abusé. LISEZ SLAM DUNK BORDEL DE MERDE ! Ah et Ippo c'est de la baston pour moi, mais ouais, c'est de la bombe.
Lu les deux premiers tomes de Last Hero Inuyashiki de Oku sur les bons conseils de Dano ;)
Inuyashiki est un père de famille looser et pathétique. Sa famille le déteste et socialement, il est inexistant. Lors d'un incident pour le moins étrange, il se retrouve affublé d'un corps cyborg dont il découvre chaque jour de nouvelles fonctionnalités. Grâce à ce potentiel infini, Inuyashiki décide de devenir un héros et d'aider un maximum de personnes. Mais un jeune homme présent au moment de l'incident et affublé du même corps pourrait bien faire le choix inverse...
Je crois comprendre pourquoi Dano a exprimé à la fois de l'enthousiasme en même temps qu'une certaine réticence en présentant cette série. Ça se se bouffe, l'histoire avance bien et Hiroya Oku développe un univers SF intéressant transcendé par un dessin magnifique. Le tout est saupoudré d'une dose d'hyper-violence chère à l'auteur et qui était déjà sa marque de fabrique dans Gantz. Les soucis se situent toujours aux mêmes endroits chez cet auteur. Pas une once d'explication, même pas un peu, sur le pourquoi du comment et des clichés à foison sur la société nippone. C'est simple, on a l'impression qu'il y a des rackets et du harcèlement à tous les coins de rue et que Tokyo est une sorte de far west où on peut se faire tabasser à tout moment pour un oui ou pour un non. Mais c'est aussi une marque de fabrique de Oku, cette stylisation et cette exagération à outrance, aux portes de la caricature. Tout est amplifié pour laisser libre cour à une dramaturgie débridée qui peut se permettre de partir dans tous les sens. Si vous cherchez le réalisme, vous serez déçu. Je suis pas fan pour le moment, mais j'attends de voir le développement de la suite. Le duel entre Inuyashiki et l'autre cyborg promet d'être épique.
Lu Hokuto No Ken, Ultimate Edition Tome 11 de Buronson et Hara.
Kenshiro est parti sur l'autre continent récupéré Lynn. Une fois surplace, il doit combattre trois guerriers d'exception, héritiers du Hokuto Ryûken, une branche maléfique du Hokuto Shinken. Kenshiro saura-t-il s'en sortir face à ces monstres? D'autant plus que les démons du passé ressurgissent.
L'univers de Hokuto No Ken est toujours plaisant à retrouver. Une empreinte unique qui a profondément marqué le manga au début des années 80, révolutionnant les récits d'arts martiaux classiques en transposant les combats dans un univers sans pitié à la Mad Max. Sa célébrité n'est pas en reste encore aujourd'hui. Cependant, si les affrontements entre les grandes étoiles du Hokuto est jubilatoire, on ne peut s'empêcher de ressentir une lassitude face à l'extrême répétition de la structure narrative. En lisant les tomes avec plusieurs mois d'écart, cela passe encore, mais si vous décidez de tout vous enfiler d'un coup, prenez garde à l'indigestion. Depuis la fin de Raoh et en déplaçant leur héros sur un continent inconnu, on pouvait penser que les auteurs changeraient de formule, mais il n'en est rien: Menu fretin et big boss se succèdent, comme dans un jeu de Beat Them All. Les fans convaincus diront qu'on ne change pas une recette qui marche, j'aurai plutôt tendance à dire que c'est dommage...
Si tu veux un bon gros conseil sans Fan-Boyissme derrière (c'est une blague je suis un gros fan-boy de ce mec là), tu devrais lire Poison City de Tetsuya Tsutsui surement le meilleur truc que j'ai lu de cette année en plus d'être bourré de référence au manga/anime en général le manga est une critique réaliste à la vie d'auteur/mangaka qui en chie à mort lorsque leur manga sont considéré comme dangereux pour la société. Ceux qui connaissent l’histoire de Ashita no Joe doivent surement avoir tilté tout de suite de quoi il en retourné. C'est en Deux Tome et c'est un gros Hit comme l'était Prophecy avant cela. D'ailleurs un spin-off à Prophecy va sortir fin 2016 si j'en crois la brochure surprise à l'intérieur du Tome 2 de poison city.
Sinon voici mes achats manga du mois. Je me suis un peu lâché je l'avoue :p
Even if victory is dying, a battle is never lost before.
MAL Profil
Session Fêtes de Bayonne 2016
Lu les deux premiers tomes de l'édition de luxe de Rainbow de Abe et Kakizaki.
Dans le japon d'après-guerre, 6 jeunes délinquants condamnés pour des faits mineurs sont placés en maison de redressement pour mineurs. Placés dans la même cellule, ils font la connaissance d'un septième détenu, qui deviendra leur modèle à tous. Les sept détenus vont nouer des liens d'amitié extrêmement forts et apprendre à surmonter les terribles épreuves qui se profilent devant eux. Car la dureté du système carcéral de cette époque était loin d'être une sinécure. Rêver de liberté est tout ce qu'il leur reste...
Cette édition de luxe de Rainbow rassemble 3 tomes par volume. Ces deux premiers volumes rassemblent donc les 6 premiers tomes de la série.
Rainbow parle avant tout d'amitié et de courage. Dans ce Japon d'après-guerre en proie à la misère et en pleine mutation, ces adolescents ne peuvent compter que sur eux-même pour s'en sortir. Les sept jeunes hommes sont différents et pourtant unis, comme les couleurs de l'arc-en-ciel. La force du manga est que l'auteur, George Abe, qui a vécu à la même époque que ses protagonistes et qui a vécu la plupart des épreuves qu'ils rencontrent, croit fermement à ses propos et aux valeurs qu'il défend. Il les véhicule avec une ardeur et une spontanéité à toute épreuve. Cela peut paraître quelquefois naïf et trop idéalisé, mais cette sincérité force le respect et parfois même émeut. Malgré les évènements tragiques et les difficultés traversés par les jeunes hommes, l'optimisme triomphe. Le manga est dessiné par Kakizaki (Green Blood, Hideout) et bien qu'il soit à ses débuts, on reconnaît déjà la finesse et la maturité de son trait. Sans compter son inégalable compétence pour dessiner les traits de la perversité humaine sur un visage humain. Rainbow est une belle leçon de vie et d'humanisme. Je le conseille à tous.
AWIII!
J'avais vu le premier tome a cultura: j'avais vu un tôme de manga aussi ÉNORME ( au sens propre du terme): il est tellement épais. Les dessins m'ont paru bien collé à ce que j'avais vu dans l'anime
ZUNDARRR DAAAA
MyAnimeList
Sérieux ? Parce-que l'anime est bien pourrave xD .