Tetra--> Ouais c'est peut être parce que je connais un peu Show (juste en tant que membre d'hooper.fr) que je prend ça à la légère. Dans ce topic on a tendance à ne lire que des commentaires "triste", un poste comme celui de Show en plein milieu d'un débat sur la dépression peu avoir un effet bénéfique. Je n'ai jamais été en dépression, mais comme tout le monde j'ai eu des moments difficiles. Et aujourd'hui je me rend compte que parler constamment de ses problèmes et ne pas les oublier n'est pas une solution. Ça fait toujours du bien de parler à quelqu'un, mais au bout d'un moment il faut réussir à passer à autre chose.
Parler un peu de jeux vidéo en plein milieu de ce topic peut être un moyen d'oublier ce qu'on endure.
dsl de le dire , mais je suis un peu d'accord avec proto ici ... En même temps j'aimerais mieux me faire prendre au sérieux plutôt que le contraire , ça ne vx pas dire que c'est toujours le remède , juste que je crois qu'un comédien serait capable de t'expliquer le véritable pouvoir de rire . Ca px t'aider à travers les moments les plus difficiles de ta vie et te redonner un peu d'espoir qu'il reste du bien autour de toi ...
Je pense que tu n'as pas à être aussi sérieux, tetra. Non seulement parce que ça ne vaut pas la peine de réprimander showbeks à ce sujet, mais en plus, je trouve que c'est plus une main-mise émotionnelle sur ces personnes de ta part.
Peut-être que tu peux soulager leur souffrances avec de l'humour, ou bien en les laissant réfléchir, ou bien en essayant de leur donner des pistes. Les deux sont possibles. Mais je crains que les traités de façon protectrice comme tu le fait n'aggrave leur cas.
Le troll amène une seconde réflexion chez moi. Une de ces phrases, certains ne seront pas d'accord et les gens me diront que c'est facile à dire, moins à faire dans ces situations. Pourtant, ayant eu ma dose de dépressif dans mon entourage, chose que finalement on prend avec humour, c'est une chose qui revient souvent :
"Le ridicule ne tue pas, c'est l'orgueil qui s'occupe de cette partie."
Vous allez rire, vous allez me dire que minimiser est pas la solution, surtout si ça devient presque du déni. Mais, ce que je remarque, c'est une forte tendance à dramatiser. On désespère, on donne du sérieux à nos problèmes, on dit qu'on veut s'en sortir, mais après des années d'expérience avec des proches en dépression, j'ai découvert ceci : la dépression fini souvent par devenir une partie de la définition de "moi". On dramatise tout ça, on se bloque certaines portes par orgueil, parfois en se trouvant des raisons bidons, comme dire que "les services sociaux peuvent rien faire". Je dis pas que c'est pas le cas, je sais pas moi, mais notre cerveau nous joue souvent des tours et ce qu'on croit motivé par la logique est surtout motivé par un espèce de déni orgueilleux étrange, émotionnelle. Parfois, à défaut de pouvoir trancher entre déni et logique, même si "notre coeur nous le dit", il faut juste essayer pour vérifier. Là, l'orgueil nous tue, beaucoup plus que le "ridicule" à faire certaines démarches.
Parfois on se plante, mais il y a un espèce de "bon, j'ai tout perdu, même mes certitudes, mêmes ma fiertés en faisant ces démarches que je snobais, en plus, en y faisant confiance, je me suis trompé, je suis malheureux". Et là, tu te rend compte que rien à changer au fond, malgré l'importance que tu donnais à ces tentative. Franchement, ça donne une liberté, ça permet de laisser de côté certains trucs qu'on dramatisait et tu te dis "Bah putain, malgré tout ce que je disais sur mon niveau de malheur et l'importance que je donnais à cette orgueil, je suis encore là."
Perso, c'est le remonte-pente de beaucoup de gens, qui se sentent libres de tenter plus de trucs, mais aussi, ils se mettent souvent à se définir par autre chose que la dépression ou les problèmes mentaux. Rien n'a changé au fond, enfin, pas à 100%, mais ils sont toujours là et c'est bon.
Tout le monde>>>J'ai bien compris le message, même si je reste un peu sur mes positions, notamment parce que là il ne s'agit pas d'une simple blague, mais d'un troll, et j'ai jamais considéré le troll comme étant une forme d'humour très saine, surtout quand ça va pas. Je préfère éviter que ça devienne monnaie courante ici, donc, même si bien sûr, c'est pas deux posts du genre qui vont tout foutre en l'air, j'ai jamais dit ça. :v
Enfin, j'ai peut-être été un peu trop sérieux trop vite, donc je suis désolé, on me le reproche assez souvent ça. :p
Nilictis>>>Je sais pas si j'appelerais ça de l'orgueil, mais c'est juste, oui.
Les dépressifs vont tout faire pour ne pas s'en sortir, malheureusement, c'est rarement conscient, mais c'est le cas. Il y a cette peur démesurée du changement, ce qui fait qu'ils vont éviter toute mesure impliquant le moindre effort pour s'en sortir. C'est un peu ce qui qualifie la dépression au final: l'inaction. Même avec toutes les raisons du monde de tenter une expérience qui pourrait les aider, on aura souvent affaire à des excuses comme "de toutes façons je sais pertinemment que ça marchera pas", sans autre explication. Là où on peut confondre ça avec une forme d'orgueil c'est parce que quoi que les gens concernés en disent, si elles ont une opinion désastreuse d'elles-même, et si elles vont passer leur temps à se critiquer, elles ont en réalité un mal fou à prendre la moindre critique de la part des autres. Et c'est normal, leur coupe est pleine, elles peuvent ruminer leur malheur de leur côté, mais il ne s'agirait pas que d'autres viennent en rajouter. Du coup, à les entendre, elles ont une excuse à tout, et c'est rarement "vraiment" de leur faute, le plus proche de cette notion qu'on va entendre c'est "de toute façon je suis nul/moche/con/etc". Ca peut ressembler à un avoeu de faiblesse, mais c'est plus une autre couche de protection, à l'inverse, ca minimise le problème (qui ne fait du coup plus partie que d'un tout bien plus "grave") et ça permet de ne pas avoir à agir concrètement pour le régler, vu que c'est vu comme une fatalité.
Y'a tout de même un moment ça devient une part de soi, sinon, oui. Quand ça a duré longtemps, ça devient un vrai réflexe... On va répondre ainsi, mais sans vraiment se souvenir pourquoi, c'est juste quelque chose qui nous a suivi si longtemps que ça parait normal maintenant. Arrivé à ce stade, je pense que c'est plus simple de remonter la pente, en effet, vu qu'on se met enfin à questionner ces réflexes douteux, chose dont on est incapable au fond du trou. Après, évidemment, ça met un temps fou en général d'en arriver là, donc c'est préférable si possible de s'en sortir avant, mais bon. :/
pour tetra : tout ça dépend par ou la personne passe aussi ... Je ne crois pas qu'un dépressif c'est l'inaction qui la pousse à devenir plus dépressif , l'environnement aussi joue un rôle . Vous dites que c'est l'inaction , mais à celui qui a essayer justement ces plans et que ça n'a pas fonctionné pour lui/elle parce que cette personne ne se retrouve pas dans ce ''ridicule'' vous lui dites quoi ? Effectivement le ridicule ne tue pas , mais on est pas obligé de l'être ou de le faire ...
Moi je penses beaucoup + à l'encouragement à prendre ces propres décisions et à souligner les bons coups , les actions qu'il/elle fait pour lui redonner de l'espoir . De lui montrer que ces décisions ne sont pas ridicule justement , que c'est une force qu'on possède . De mon point de vue
En cas de dépression réactionnelle il est vrai que quand suite à un certain événement c'est justement la réaction qu'il nous reste, il n'est pas rare de s'y identifier et de s'y rattacher. La dépression n'est qu'une couche, il faut faire le détour et creuser ce qu'il y a derrière, parce que c'est ce qu'il y a derrière qui pourrait permettre de la "résoudre". Après bien entendu, outre ce point, outre l'ambition de "résoudre son problème", quand on a un ami dépressif, il faut prendre sur soi et l'aider à s'aérer, ne pas le laisser seul, même si dans un premier il pourrait prétendre ne plus vouloir rien faire.
Citation:
Du coup, à les entendre, elles ont une excuse à tout, et c'est rarement "vraiment" de leur faute, le plus proche de cette notion qu'on va entendre c'est "de toute façon je suis nul/moche/con/etc"
Il n'y a pas de généralité, ça, ça peut vouloir dire plein de chose. Ou bien oui un mécanisme de défense, mais ça peut aussi être lié à une dépression endogène, soit celle que l'on retrouve dans la psychose, les troubles mélancoliques etc.. Et là il ne s'agit plus d'une défense, mais bien d'une croyance, d'une certitude inébranlable, contre laquelle malheureusement, c'est bien mon mal de le dire, le traitement médicamenteux doit servir de béquille.
C'est pour ça que, une dévalorisation ne signifie jamais la même chose d'un individu à l'autre, et n'a pas non plus les mêmes attentes d'un individu à l'autre.
Citation:
Je ne crois pas qu'un dépressif c'est l'inaction qui la pousse à devenir plus dépressif , l'environnement aussi joue un rôle
Tout à fait, il y a plusieurs types de dépression, eux-mêmes ayant plusieurs manières de se manifester, de s'exprimer, et bien entendu une infinité de facteurs déclencheurs qui puissent les expliquer, qu'ils proviennent de l'intérieur ou de l'extérieur.
Ce que tu as décrit sur la confiance en soi, le problème de trop souvent être rabaissé plutôt que valorisé ou même ne serait-ce pris comme tel, évidemment c'est l'environnement qui le cultive. La question n'est donc plus de se demander "comment faire mes preuves auprès de ces gens" mais plutôt "pourquoi, sous quel prétexte, devrais-je faire mes preuves auprès de ces gens" et d'aller dans la direction souhaitée sans rendre de compte, et finalement chercher d'abord à se satisfaire soi-même par rapport aux objectifs visés.
Tetra--> Ouais c'est peut être parce que je connais un peu Show (juste en tant que membre d'hooper.fr) que je prend ça à la légère. Dans ce topic on a tendance à ne lire que des commentaires "triste", un poste comme celui de Show en plein milieu d'un débat sur la dépression peu avoir un effet bénéfique. Je n'ai jamais été en dépression, mais comme tout le monde j'ai eu des moments difficiles. Et aujourd'hui je me rend compte que parler constamment de ses problèmes et ne pas les oublier n'est pas une solution. Ça fait toujours du bien de parler à quelqu'un, mais au bout d'un moment il faut réussir à passer à autre chose.
Parler un peu de jeux vidéo en plein milieu de ce topic peut être un moyen d'oublier ce qu'on endure.
dsl de le dire , mais je suis un peu d'accord avec proto ici ... En même temps j'aimerais mieux me faire prendre au sérieux plutôt que le contraire , ça ne vx pas dire que c'est toujours le remède , juste que je crois qu'un comédien serait capable de t'expliquer le véritable pouvoir de rire . Ca px t'aider à travers les moments les plus difficiles de ta vie et te redonner un peu d'espoir qu'il reste du bien autour de toi ...
Je pense que tu n'as pas à être aussi sérieux, tetra. Non seulement parce que ça ne vaut pas la peine de réprimander showbeks à ce sujet, mais en plus, je trouve que c'est plus une main-mise émotionnelle sur ces personnes de ta part.
Peut-être que tu peux soulager leur souffrances avec de l'humour, ou bien en les laissant réfléchir, ou bien en essayant de leur donner des pistes. Les deux sont possibles. Mais je crains que les traités de façon protectrice comme tu le fait n'aggrave leur cas.
voilà.
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Le troll amène une seconde réflexion chez moi. Une de ces phrases, certains ne seront pas d'accord et les gens me diront que c'est facile à dire, moins à faire dans ces situations. Pourtant, ayant eu ma dose de dépressif dans mon entourage, chose que finalement on prend avec humour, c'est une chose qui revient souvent :
"Le ridicule ne tue pas, c'est l'orgueil qui s'occupe de cette partie."
Vous allez rire, vous allez me dire que minimiser est pas la solution, surtout si ça devient presque du déni. Mais, ce que je remarque, c'est une forte tendance à dramatiser. On désespère, on donne du sérieux à nos problèmes, on dit qu'on veut s'en sortir, mais après des années d'expérience avec des proches en dépression, j'ai découvert ceci : la dépression fini souvent par devenir une partie de la définition de "moi". On dramatise tout ça, on se bloque certaines portes par orgueil, parfois en se trouvant des raisons bidons, comme dire que "les services sociaux peuvent rien faire". Je dis pas que c'est pas le cas, je sais pas moi, mais notre cerveau nous joue souvent des tours et ce qu'on croit motivé par la logique est surtout motivé par un espèce de déni orgueilleux étrange, émotionnelle. Parfois, à défaut de pouvoir trancher entre déni et logique, même si "notre coeur nous le dit", il faut juste essayer pour vérifier. Là, l'orgueil nous tue, beaucoup plus que le "ridicule" à faire certaines démarches.
Parfois on se plante, mais il y a un espèce de "bon, j'ai tout perdu, même mes certitudes, mêmes ma fiertés en faisant ces démarches que je snobais, en plus, en y faisant confiance, je me suis trompé, je suis malheureux". Et là, tu te rend compte que rien à changer au fond, malgré l'importance que tu donnais à ces tentative. Franchement, ça donne une liberté, ça permet de laisser de côté certains trucs qu'on dramatisait et tu te dis "Bah putain, malgré tout ce que je disais sur mon niveau de malheur et l'importance que je donnais à cette orgueil, je suis encore là."
Perso, c'est le remonte-pente de beaucoup de gens, qui se sentent libres de tenter plus de trucs, mais aussi, ils se mettent souvent à se définir par autre chose que la dépression ou les problèmes mentaux. Rien n'a changé au fond, enfin, pas à 100%, mais ils sont toujours là et c'est bon.
Tout le monde>>>J'ai bien compris le message, même si je reste un peu sur mes positions, notamment parce que là il ne s'agit pas d'une simple blague, mais d'un troll, et j'ai jamais considéré le troll comme étant une forme d'humour très saine, surtout quand ça va pas. Je préfère éviter que ça devienne monnaie courante ici, donc, même si bien sûr, c'est pas deux posts du genre qui vont tout foutre en l'air, j'ai jamais dit ça. :v
Enfin, j'ai peut-être été un peu trop sérieux trop vite, donc je suis désolé, on me le reproche assez souvent ça. :p
Nilictis>>>Je sais pas si j'appelerais ça de l'orgueil, mais c'est juste, oui.
Les dépressifs vont tout faire pour ne pas s'en sortir, malheureusement, c'est rarement conscient, mais c'est le cas. Il y a cette peur démesurée du changement, ce qui fait qu'ils vont éviter toute mesure impliquant le moindre effort pour s'en sortir. C'est un peu ce qui qualifie la dépression au final: l'inaction. Même avec toutes les raisons du monde de tenter une expérience qui pourrait les aider, on aura souvent affaire à des excuses comme "de toutes façons je sais pertinemment que ça marchera pas", sans autre explication. Là où on peut confondre ça avec une forme d'orgueil c'est parce que quoi que les gens concernés en disent, si elles ont une opinion désastreuse d'elles-même, et si elles vont passer leur temps à se critiquer, elles ont en réalité un mal fou à prendre la moindre critique de la part des autres. Et c'est normal, leur coupe est pleine, elles peuvent ruminer leur malheur de leur côté, mais il ne s'agirait pas que d'autres viennent en rajouter. Du coup, à les entendre, elles ont une excuse à tout, et c'est rarement "vraiment" de leur faute, le plus proche de cette notion qu'on va entendre c'est "de toute façon je suis nul/moche/con/etc". Ca peut ressembler à un avoeu de faiblesse, mais c'est plus une autre couche de protection, à l'inverse, ca minimise le problème (qui ne fait du coup plus partie que d'un tout bien plus "grave") et ça permet de ne pas avoir à agir concrètement pour le régler, vu que c'est vu comme une fatalité.
Y'a tout de même un moment ça devient une part de soi, sinon, oui. Quand ça a duré longtemps, ça devient un vrai réflexe... On va répondre ainsi, mais sans vraiment se souvenir pourquoi, c'est juste quelque chose qui nous a suivi si longtemps que ça parait normal maintenant. Arrivé à ce stade, je pense que c'est plus simple de remonter la pente, en effet, vu qu'on se met enfin à questionner ces réflexes douteux, chose dont on est incapable au fond du trou. Après, évidemment, ça met un temps fou en général d'en arriver là, donc c'est préférable si possible de s'en sortir avant, mais bon. :/
Ce que showbeks a fait n'es pas du troll, C'est de l'humour absurde.
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
pour tetra : tout ça dépend par ou la personne passe aussi ... Je ne crois pas qu'un dépressif c'est l'inaction qui la pousse à devenir plus dépressif , l'environnement aussi joue un rôle . Vous dites que c'est l'inaction , mais à celui qui a essayer justement ces plans et que ça n'a pas fonctionné pour lui/elle parce que cette personne ne se retrouve pas dans ce ''ridicule'' vous lui dites quoi ? Effectivement le ridicule ne tue pas , mais on est pas obligé de l'être ou de le faire ...
Moi je penses beaucoup + à l'encouragement à prendre ces propres décisions et à souligner les bons coups , les actions qu'il/elle fait pour lui redonner de l'espoir . De lui montrer que ces décisions ne sont pas ridicule justement , que c'est une force qu'on possède . De mon point de vue
En cas de dépression réactionnelle il est vrai que quand suite à un certain événement c'est justement la réaction qu'il nous reste, il n'est pas rare de s'y identifier et de s'y rattacher. La dépression n'est qu'une couche, il faut faire le détour et creuser ce qu'il y a derrière, parce que c'est ce qu'il y a derrière qui pourrait permettre de la "résoudre". Après bien entendu, outre ce point, outre l'ambition de "résoudre son problème", quand on a un ami dépressif, il faut prendre sur soi et l'aider à s'aérer, ne pas le laisser seul, même si dans un premier il pourrait prétendre ne plus vouloir rien faire.
Il n'y a pas de généralité, ça, ça peut vouloir dire plein de chose. Ou bien oui un mécanisme de défense, mais ça peut aussi être lié à une dépression endogène, soit celle que l'on retrouve dans la psychose, les troubles mélancoliques etc.. Et là il ne s'agit plus d'une défense, mais bien d'une croyance, d'une certitude inébranlable, contre laquelle malheureusement, c'est bien mon mal de le dire, le traitement médicamenteux doit servir de béquille.
C'est pour ça que, une dévalorisation ne signifie jamais la même chose d'un individu à l'autre, et n'a pas non plus les mêmes attentes d'un individu à l'autre.
Tout à fait, il y a plusieurs types de dépression, eux-mêmes ayant plusieurs manières de se manifester, de s'exprimer, et bien entendu une infinité de facteurs déclencheurs qui puissent les expliquer, qu'ils proviennent de l'intérieur ou de l'extérieur.
Ce que tu as décrit sur la confiance en soi, le problème de trop souvent être rabaissé plutôt que valorisé ou même ne serait-ce pris comme tel, évidemment c'est l'environnement qui le cultive. La question n'est donc plus de se demander "comment faire mes preuves auprès de ces gens" mais plutôt "pourquoi, sous quel prétexte, devrais-je faire mes preuves auprès de ces gens" et d'aller dans la direction souhaitée sans rendre de compte, et finalement chercher d'abord à se satisfaire soi-même par rapport aux objectifs visés.
Moi, j'ai un gros problème :
Ils ont abattu mon Spitfire au dessus de la Manche!
De masturbatione mortuorum in tumulis