Skip to Content

Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Dernière contribution

375 posts / 0 nouveau(x)
Portrait de Hatsu Lurker
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 1593
Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Bon, voilà comme je l’ai fait sur « Manga et Animation » je vais commencer à créer quelques topics officiels sur différents gros jeux quand je me rends compte que personne n’en a créé ou que le topic déjà existant n’est pas suffisant pour initier un échange idéal. Au-delà d’une simple présentation ce sujet est aussi là pour permettre aux gens de débattre, d’échanger des infos, de se réunir pour jouer en online etc.

Grand fan d’Assassin’s creed, je ne pouvais pas passer à côté de l’occasion de créer un sujet sur cette saga faisant certainement partie des meilleures licences de la génération actuelle avec Gears of War, Mass Effect et Uncharted pour n’en citer que trois. Mon but dans cette présentation est d’aborder l’intégralité des opus de la saga sous différents angles. Je traiterai bien évidemment du scenario mais aussi du gameplay et de son évolution, du background spécifique et des différentes questions que les jeux posent. Les passages pouvant spoiler seront bien évidemment dissimulés.

Prologue : L’assassin et le prisonnier

Le premier Assassin’s Creed fut certainement l’une des meilleures surprises du début de la génération actuelle. Il a d’abord fait parler de lui grâce à ses graphismes et à son ambiance visuelle très particulière. Alors que la plus part des jeux nous placent dans des univers déjà vu et revu (comme l’héroïque fantasy à l’européenne, les Guerres Mondiales, les mondes post apocalyptiques), AC prend une toute autre direction. Les créateurs choisissent de développer une histoire se plaçant dans un contexte historique réel tout en y incluant leur propre mythologie. Le premier AC se déroule en 1191 alors que l’Ordre des Templiers est au sommet de sa puissance. A cette époque, alors que le monde est en plein changement, une secte séculaire constituée d’assassins agit dans l’ombre afin de libérer le peuple de ses plus grands chefs et ennemis. Plus particulièrement, AC nous conte l’histoire d’un grand assassin appelé Altaïr Ibn-La'Ahad déchu après un incident lors d’une mission cruciale. Alors qu’il est sur le point de dérober le trésor de Salomon dissimulé dans les profondeurs de Jérusalem, lui et ses compagnons Malik et Kadar doivent faire face au terrible Robert de Sablé et ses hommes. Altair choisi de les affronter mais malheureusement le combat tourne au désastre. Al-Mulaim choisit de destituer son meilleur élément. Le jeu commence alors que vous n’êtes plus rien. Votre but sera, à partir de là, de voyager à travers le monde pour tuer quelques uns des plus importants templiers de cette époque.

Voilà globalement ce que l’on savait avant la sortie du jeu. Les joueurs furent surpris de découvrir quelque chose de totalement inédit lors de leur première partie. En effet, tout le monde s’attendait à un jeu purement historique alors que ce n’est finalement pas du tout le cas. Dès le lancement du jeu, nous ne contrôlons pas Altair mais Desmond Miles, un jeune homme apparemment prisonnier dans une énorme pièce blanche. Au centre de celle-ci on trouve une étrange machine appelé l’Animus. Celle-ci permet à la personne à l’intérieur de revivre les souvenirs de ses ancêtres. Le jeu se divise en deux parties distinctes. Tout d’abord le monde réel où le gameplay est extrêmement limité et où on ne peut rien faire à part enquêter sur les personnes nous retenant dans ce lieu. Puis il y a le monde de l’Animus où le joueur est totalement libre de ses mouvements pour explorer un monde médiéval d’une beauté et d’une richesse visuelle rarement atteinte.

Le trésor et la conspiration :

Spoiler

Glyphes de sang et théories :

Spoiler

Les mécaniques de jeu et le gameplay :

Ce sont certainement les points les plus critiquables de ce premier opus. En effet, il lui a été très largement reproché de proposer des missions annexes et une mécanique de jeu assez limitée et extrêmement répétitive. On ne peut pas donner tord aux détracteurs de cette série sur ce point là. Pour ceux qui ne connaissent pas la façon dont le jeu fonctionne, voici une petite présentation. Chaque assassinat se présente de la même manière. Tout d’abord il est nécessaire de recueillir des informations sur notre cible. Pour cela différentes quêtes sont proposés au joueur (courses, interrogatoire, filatures, espionnage). Malheureusement celles-ci sont très répétitives et n’apportent aucune variété. Seul l’assassinat et donc la façon dont on peut résoudre la situation finale varie. Heureusement, le gameplay est quand à lui très bien pensé et permet de se déplacer relativement bien entre les différentes zones et à l’intérieur même des villes. N lui reprochera tout de même de générer quelques imprécisions dans les sauts et l’escalade qui se déclenchent parfois sans qu’on le désir. C’est un défaut qu’on retrouve malheureusement à travers toute la saga.

Chapitre 1: La noblesse de la Renaissance

Après la sortie du premier Assassin’s Creed il devient assez évident qu’une suite est en préparation. L’histoire ne laisse pas de doute à ce sujet. Deux ans après le premier épisode, nous retrouvons Desmond sur le point de s’enfuir des locaux d’Absetergo avec l’aide de Lucy, une scientifique chargée d’accompagner les sujets au cours de leur voyage à l’intérieur de l’Animus. Après un combat contre plusieurs dizaines de garde, ils arrivent enfin à s’enfuir et à trouver refuge dans un entrepôt aménagé contenant une toute nouvelle version de l’Animus. Toujours dans l’optique de découvrir la localisation de la Pomme et des autres artéfacts, Lucy et deux autres techniciens décident de renvoyer Desmond dans le passé de ses ancêtres. Cette fois ci Desmond n’incarne plus Altair mais Ezio Auditore Da Firenze, un riche noble de Florence. Près de 300 ans ont passé depuis qu’Altair est entré en contact avec la Pomme d’ Eden et le monde à radicalement changé. Les croisades sont bien loin et le temps est désormais celui des innovations technologiques, de la peinture et des rivalités entre familles. C’est dans ce tout nouveau contexte historique que va se dérouler le premier chapitre de la saga Assassin’s Creed. Tout comme dans le premier épisode, cette nouvelle aventure nous amènera à rencontrer certains des personnages les plus illustres de ce temps. Ce voyage au cœur de la Renaissance nous amène à rencontrer des alliés tels que Leonardo Da Vinci, Laurent de Médicis, Bartolomeo d'Alviano ou encore Nicolas Machiavel. A l’autre bout de l’échiquier on retrouve bien évidemment les Templiers. Dans le premier AC ils étaient au sommet de leur gloire, 300 ans plus tard ce n’est plus vraiment le cas. Alors que dans le passé nous pouvions en trouver à chaque coin de rue, au XVème siècle il n’en reste qu’une poigné se dissimulant dans les hautes sphères dirigeantes. Ils n’en sont pas moins dangereux et Ezio en prendra très rapidement conscience.


En 1476, Laurent de Médicis charge le père d’Ezio d’une enquête visant à découvrir les commanditaires de l’assassinat du Duc de Milan. Ceux-ci, bien décidés à conserver leurs identités secrètes, fomentent un complot contre celui-ci afin de le faire taire lui et sa famille pour toujours. Heureusement, lorsque les gardes de Florence viennent à la demeure Auditore, Ezio n’est pas là. Le père ainsi que les deux frères d’Ezio (dont l’un d’eux n’est âgé que de 13 ans) sont rapidement jugés et pendus en place publique. Le jeune florentin arrive trop tard pour les sauver mais juste à temps pour découvrir les corps désormais sans vie. Déchirer par le chagrin, la vengeance lui semble être l’unique voie de salut. Mais d’abord il décide de se retrancher avec sa sœur et sa mère dans une vieille villa loin de Florence. Il s’agira de votre première base d’opération. Rapidement, Ezio se rend compte qu’un homme très puissant se faisant appeler l’Espagnol est au cœur d’une machination le dépassant de très loin.

De son coté, Desmond en apprend d’avantage sur ce qu’il est advenue des assassins à notre époque. De plus, il ne tarde pas à réaliser que ses longues sessions dans l’Animus commencent à gravement l’affecter. Les deux mondes semblent lentement se rejoindre et ses aptitudes physiques se rapprochent de plus en plus de ce qu’étaient celles de ses ancêtres.

La quête du sujet 16 :

Dans le premier Assassin’s Creed, cette quête annexe n’était pas totalement implémenté dans le scénario. Il fallait se donner un minimum de mal pour tenter de l’élucider et faire très attention aux événements ayant lieu dans le monde réel. Ici, pour plus de simplicité, elle vous est directement annoncée dès le début du jeu. Cette fois, elle se divise en différentes énigmes dont la difficulté est graduelle. Si au départ elles vous semblent relativement simples, les derniers codex et identifications de détails vous demanderont pas mal de réflexion. Passer à coté serait une grossière erreur. Cette quête constitue selon moi 50% de l’intérêt du scénario principal et surtout de la fin du jeu. Si la fin vous annonce un certain nombre de faits, la quête du sujet 16 ou de La Vérité permet de mettre ses informations en contexte en donc d’avoir une autre vision des choses. En plus d’apporter ce nouveau regard elle permet aussi un approfondissement important du background et de son intérêt. En effet, à l’intérieur de chacune de ces énigmes est souvent dissimulé un message crypté faisant référence à un évènement, à une personne ou à un objet ayant réellement existé. Par conjecture il est ensuite possible de déterminer l’importance de cette allusion et de l’implémenter dans le background de la saga. Prenons un exemple. Dans l’une des toutes premières énigmes du jeu (celle de la connaissance infinie) il vous sera demandé d’identifier une personne dans une photographie en noir et blanc à partir d’une petite description. Pour résoudre le problème il est nécessaire de placer un curseur sur celle-ci. Or celui-ci vous permet aussi de faire apparaitre un code alpha numérique totalement étranger.

41 6e 74 69 6b 79 74
68 65 72 61 20 4d 65
63 68 61 6e 69 73 6d
2c 20 6d 75 63 68 20
6f 6c 64 65 72 20 74
68 61 6e 20 31 35 30
20 42 2e 43 2e 45 2e

Une fois décodé et traduit en français cela donne : "La machine d'Anticythère est beaucoup plus ancienne que 150 av. J.C." Quelle est cette étrange machine ? Pourquoi serait-elle plus ancienne que l’Histoire nous le dit ? En quoi le scénario d’AC permet il de formuler des hypothèses ? C’est à travers toutes ces questions que le background s’enrichie sensiblement. De plus cette sous quête vous permettra aussi d’en apprendre plus sur les autres artéfacts de l’Eden.

La menace et le mensonge :

Spoiler

La carte et les évolutions de gameplay :

D’un point de vue géographique ce nouvel AC ne nous permet pas de voyager autant que le premier dans les différentes contrés du globe mais offre des espaces beaucoup plus grands et nombreux à visiter. Ici, toute l’intrigue prend place en Italie et plus particulièrement dans quelques villes très connues. Tout d’abord Florence, puis la villa Monteriggioni et enfin la divine Venise avec ses carneaux, son carnaval et ses musiques grandioses. Le jeu vous amènera aussi à découvrir la campagne Toscane, Romagne et Forli. Chaque zone possède sa propre ambiance et bien évidemment ses propres spécificités. Ainsi il sera plus facile de se déplacer à cheval dans la compagne Toscane tandis que la course sera plus indiquée à Florence. En ce qui concerne Venise, les choses deviennent un peu plus compliquées. En effet cette ville est très escarpée, labyrinthique et parcouru de nombreux cours d’eau. Il devient assez rapidement difficile de s’y déplacer rapidement. C’est pourquoi la course sur les toits sera beaucoup plus aisée dans ce cas précis.

Du point de vue de la mécanique de jeu, ce second épisode apporte un bon nombre de nouveaux éléments qui manquaient cruellement au premier. Le jeu est beaucoup moins répétitif et permet d’aborder les situations et problèmes de différentes manières. Adieu les sous quêtes annexes bien lourdes et bonjour les missions scénarisées ! Ce changement se révèle salutaire pour plaisir de jeu. On notera aussi l’ajout d’un inventaire plus varié avec notamment le pistolet et le poison. Ces nouvelles armes permettent d’aborder les choses d’une toute nouvelle façon comparée au premier. Par contre, on regrettera encore la relative facilité du titre. Le contre reste une technique surpuissante permettant de se débarrasser des plus puissants ennemis en un seul coup avec une bonne maitrise du timing. Le contre à la lame secrète reste la technique la plus efficace. A ces nouvelles spécificités s’ajoute la possibilité de faire évoluer son inventaire, ses armes et son armure grâce à de l’argent. La meilleure façon d’en gagner est d’investir massivement dans l’immobilier (achat et reconstruction de la Villa) dès le départ. Ainsi, vous vous retrouverez rapidement avec une grosse quantité de florins ce qui vous permettra d’acquérir les meilleures protections très rapidement.

(En cours de relecture)

A suivre : La renaissance de la confrérie

Edité par Hatsu Lurker le 14/09/2011 - 13:13
Portrait de Gencivesdeporc
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 209
Re: [Officiel] Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Une de mes séries préférées dans ce qui se fait actuellement (en même temps, je joue plus des masses).
Je suis en ce moment en plein de Brotherhood sur PC, à la séquence 3.

Par contre, le jeu est extrêmement lent, et si je baisse le niveau des détails, ça va pendant 2 minutes et ça re-rame derrière. Là j'en suis à 1024x768 avec presque tout au mini, j'ai désactivé anti-aliasing et post-traitement, si ça continue, je crois que je vais finir le jeu en 320*240 avec un jeu de couleurs de 8 bits.

Donc là je m'adresse aux PCistes qui y ont joué : si vous avez eu le même problème et que vous avez trouvé une solution, je suis preneur.
J'ai arpenté les forums et il en ressort qu'il faut renommer le fichier ACBSP.exe en AssassinsCreedIIGame.exe, mais ça change rien dans mon cas.

Et je pense pas que ça vienne de ma config (même si c'est vrai que la carte graphique limite beaucoup la qualité, mais pas à ce point), puisque je faisais tourner AC II assez fluidement en 1024*768 avec des détails allant de moyen et élevés (et accessoirement, Burnout Paradise tourne en 1024*768 avec presque tout au max (sauf anti-aliasing) sans problèmes.

Edité par Gencivesdeporc le 06/09/2011 - 19:33
Portrait de Sange
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 823
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

C'est bien écris et une de me mes série préférée, si ce n'est celle que je préfère, tu n'oubliera pas de dire qu'il y'a du vrai dans cette série, comme le fait que les Assassins on vraiment exister et que Rodrigo Borgia, le Pape, fut empoisonner ;)

Et pour le Sujet 16 ce qui est intéressant c'est qu'il n'est pas mis en avant dans le 2 et Brotherhood, et que c'est le choix du joueur de chercher la verité, alors que c'est l'élément le plus important de la série (Le Sujet 16).

Portrait de Blektre
Hors ligne
A rejoint: 9 septembre 2011
Contributions: 127
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

La saga Assassin's Creed est vraiment une de mes préférées. Je préfère l'univers du premier opus, mais j'ai un faible pour les personnages à partir du deuxième.

(J'attends avec impatience le 15 novembre, quand je vais recevoir mon Edition Animus de AC : Revelations)

"Rise from your grave !"

Portrait de Sange
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 823
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Chanceux, il est encore possible de la commander?

Faut dire qu'Althaïr a la classe même si je préfère Ezio Auditore, j'espère qu'on le verra avec l'armure qu'il dit avoir créer grâce à la Pomme, que porte Ezio dans le 2 et au début de Brotherhood.

D'ailleurs je viens de me poser une question: Ezio Auditore a t'il vraiment existé? Apparement, oui(mais à vérifier).

Edité par Sange le 12/09/2011 - 06:59
Portrait de Eziotomi
Hors ligne
A rejoint: 2 septembre 2011
Contributions: 99
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Je suis un fan de la première heure D'Assassin's Creed. Le 1 M'a vraiment fait bavé, niveau scénario qui est assez complexe et philosophique, graphisme magnifique (mon 1er jeu Next Gen), Gameplay excellent ! Je vais pas parler des quêtes répétitives car les points d'avant prennent le dessus :p

Puis il y a eu Assassin's Creed II, la grosse claque aussi ! J'en ai baver longtemps avant sa sortie !

Et ensuite Brotherhood ... Je vais surement me faire huer mais tant pis. Ce jeu est pour moi une déception...
Niveau scénario avec Ezio, rien n'avance on fait les missions, c'est tout...
Le grand méchant Cesare n'à pas été assez exploité ! Il devait être le parfait "Némésis" d’après les developpeurs ... Je ne vois pas où. On en à pas vu assez de ce personnage pour en faire un monstre

Pour le scénario coté Desmond, là non plus il ne se passe pas grand chose a part dans les 15 dernieres minutes du jeu.
Et encore ! Nous foutre un cliffhanger aussi facile ... M'ouais bof bof hein

Personnellement, j'ai l'impression que ce Brotherhood est sortit trop tôt. Avec AC II on bavé pendant 2ans pour y jouer ! Là seulement 1an après sa sortie... Ça enlève un certain charme qu'avait AC II.
Avec Brotherhood, on en à pas vraiment eu l'impatience et l'excitation qu'on ressent avant la sortie d'un jeu ...

Pour moi, ce Brotherhood est commerciale. Un 2.5... J'ai l'impression qu'il ont mit Desmond dans ce dernier juste pour dire "regardez, c'est une vrai suite, un chapitre immanquable de la saga Brotherhood alors vous êtes obligés de l'acheter"
Ca va pas plaire a tout le monde mais c'est mon avis :p

Le pire c'est qu'ils recommencent avec Revelation... Seulement 1an après Brotherhood.

Je n'aimes pas trop ce que devient la licence...
Assassin's Creed devient trop casual, trop commerciale.

Le seul bon point à Brotherhood c'est son multi que j'ai beaucoup apprecié ! (Bien plus que son solo)

Voila je penses avoir a peu prés tout dis sur mon ressentie dans ce bon pavé :p

Rogue One est un mauvais film : https://www.youtube.com/watch?v=k8D043IMMhU

Portrait de Dreamboum
Hors ligne
A rejoint: 12 septembre 2011
Contributions: 271
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

D'ailleurs l'encyclopédie qui va sortir va être un must-have pour tout les fans d'Assassin's Creed, on apprends par exemple le prénom du très mystérieux sujet 16 :)

Portrait de Sange
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 823
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Assassin's Creed devient trop casual

En principe on ne dit pas ça quand le jeu deviens simplifier? Car là je comprend pas pourquoi tu dit ça, pour le coter commercial je suis d'accord car Brotherhood est juste un dlc presque qui dit ce qu'a fais Ezio avec avoir rencontrer Minerve et où est la Pomme d'Eden, par contre le online...J'ai adorer c'est excellent, après Revelations a l'air d'avoir plus d'intérêt que Brotherhood. De toute façon, on veux savoir ce que le Sujet 16 sait.

Portrait de Dreamboum
Hors ligne
A rejoint: 12 septembre 2011
Contributions: 271
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

C'est vrai que j'ai été déçu sur Brotherhood qui n'est juste que des améliorations de mécanisme, quelques petites nouveautés et un scénario assez mou hormis la fin qui est énorme. Ca en reste pas moins un bon jeu et j'attends beaucoup de Revelations qui devraient être un jeu qui dépasse toutes les espérances car on n'acceptera pas aussi facilement un jeu sans réelles nouveautés.

Portrait de Blektre
Hors ligne
A rejoint: 9 septembre 2011
Contributions: 127
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Citation:
Chanceux, il est encore possible de la commander?

Apparament on peut encore, va voir sur Ubishop.

"Rise from your grave !"

Portrait de Sange
Hors ligne
A rejoint: 1 septembre 2011
Contributions: 823
Re: Assassin’s Creed : Voyage à travers l’Histoire et la Mythologie

Okay merci, c'est vrai que le scénario est mou mais, à la fin du 2 je me suis dit, et je dois pas être le seul: Truc de fou, Rome, (excellente la partie infiltration, surement ma phases préférée dans le jeu), malheureusement ultra-court et on va pas vraiment dans Rome, Brotherhood je le prend comme un cadeau pour les fans presque, puisque on va dans Rome et ça raconte quand même une partie de la vie d'Ezio(bon après c'est surtout pour les thunes) et on voit surtout comme il deviens le chef des Assassins, ce qui n'est pas rien, ce que deviens l'Espagnol, et l'entourage d'Ezio, tout ça ils auraient pu le mettre dans historique qui va avec l'Edition Animus de Revelations, mais qui aurait refuser d'y faire? ;)