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Un peu de chinoiseries

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Re: Un peu de chinoiseries

Non non, ya pas beaucoup de vivre ensemble en Chine. Même si c'est vrai qu'à Pékin, c'est un peu moins pire qu'ailleurs.

Mais c'est clairement ça pour moi le plus fatiguant quand je suis là-bas. Ça et les gens qui me zieutent parce que je ne suis pas local.

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Re: Un peu de chinoiseries

C'est marrant, la description que tu fais des Chinois qui manquent de savoir-vivre et de savoir-être, parce que c'est exactement ce que j'ai ressenti en Inde quand j'y ai passé un mois, c'était un peu le même genre (mais pas méchants non plus, comme tu le dis, c'est juste que ça ne fait pas partie de leur éducation).

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Re: Un peu de chinoiseries

Ce qui est paradoxal, c'est que étant prof en France je remarque que les élèves d'origine asiatique sont généralement les plus calmes et les plus respectueux des règles.
L'élève asiatique mutique, sérieux dans son travail sans faire d'étincelle c'est certes cliché mais on est pas loin de la vérité.

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Re: Un peu de chinoiseries

C'est marrant parce qu'ils ont la même réputation en Belgique.

Dans mon cas, c'est un peu différent évidemment. Le fait que j'ai 100% d'étudiants chinois joue beaucoup ^^

Mais je peux dire que s'ils étaient assez timides l'année dernière — ma première année dans cette nouvelle université — ils se sont un peu décoincés et ont appris à m'apprivoiser. En même temps, je leur en fait voir de toutes les couleurs. Ils sont tellement habitués à ce qu'on dise d'eux qu'ils sont excellent que lorsque t'as un peï dans mon genre qui leur dit qu'il en a rien à foutre de leur prétendue réputation et qu'il attend des résultats, ils sont quelque peu déboussolés ^^

Du fait du nombre extraordinairement grand en Chine, un système de concours est imposé pour espérer de rentrer dans les meilleures universités. En Chine, Il n'importe pas de rentrer à l'université mais de rentrer dans une université prestigieuse. L'examen national, 高考(gaokao), est hyper sélectif ; beaucoup plus sélectif que le Bac chez vous. C'est un truc à traumatiser les étudiants. Une fois l'examen réussi, tu peux choisir ton université en fonction des points obtenus. Le système est assez compliqué car il essaye d'être le plus équitable possible en favorisant un peu les gens des campagnes et ceux issus des minorités. Il y a aussi des exigences de points plus basses pour certaines catégories de personnes. Par exemple, t'es de Pékin, tu pourras plus facilement entrer dans une université de Pékin. À savoir, qu'il y en a une chiée. Je les connais pas toutes mais je pense qu'il y en a au moins une quinzaine, si ce n'est plus....

Une fois arrivé à l'université, normalement, tu ne peux pas échouer. Je dis normalement car il est toujours possible de compter un ou l'autre bisseur, mais c'est qu'ils ont vraiment rien branlé durant l'année. C'est d'ailleurs le problème. Car beaucoup perdent la motivation d'étudier. Un autre problème que connaissent mes étudiants, c'est qu'ils n'ont jamais éprouvés l'échec. S'ils sont là, ce que c'étaient des "masta bêtes" et qu'ils sont parmi les meilleurs de leur promotion — même s'il y a quelques exceptions ^^.

Le fait qu'ils ne connaissent pas l'échec est un vrai problème :
1) ils ont trop confiance en eux et donc étudient moins
2) ils ne veulent pas trop écouter le prof sauf si celui-ci a montré qu'il les maîtrisait sans se fatiguer — est ça c'est assez pénible à faire
3) dès qu'ils rencontrent la moindre difficulté ou le moindre imprévu, ils sont perdus. Ils buguent complètement et peuvent être vite assez angoissé car ils n'arrivent pas à faire l'exercice demandé

Je me souviens, l'année dernière, pendant mon cours d'introduction à la pratique scientifique, j'avais averti tous les étudiants que les pages qu'ils me rendraient seront couvertes de rouge tellement il y aurait de fautes — même chose en Belgique. Je leur avait dit aussi de ne pas s'inquiéter car c'était normal, cela faisait partie de l'exercice et de l'apprentissage. On apprend toujours de ses erreurs. Ils ont fait les braves jusqu'au moment où je leur ai rendu leurs pages. C'était la catastrophe ! De mémoire, il y en a bien 5 ou 6 qui ont pleuré...

Par contre, une fois qu'ils avaient compris ce qu'il fallait faire, ça marchait comme sur des roulettes.

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A rejoint: 12 novembre 2016
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Re: Un peu de chinoiseries

P'tit message pour dire que je suis trop occupé pour le moment pour raconter d'autres anecdotes sur la Chine. J'oublie pas le topic mais j'ai vraiment pas le temps. Depuis la rentrée, je croule sous le boulot.

J'essayerai de faire quelque chose pour le week-end. Ça sera sur le mariage. Le mien peut-être où j'ai bloqué toute une ville pendant la parade...

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A rejoint: 12 novembre 2016
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Re: Un peu de chinoiseries

Chose promise, chose due.

Je me suis donc marié deux fois : une fois en Belgique ; la seconde en Chine. Les deux mariages avec la même femme bien entendu.

Puisque nous étions en Chine, nous nous sommes dits que nous allions faire la totale. Le mariage a duré toute la journée et fut éreintant.

L'homme est censé venir chez les parents de sa future femme pour la prendre et la faire basculer dans sa famille à lui. La symbolique est grande : la femme quitte sa famille pour entrer dans la famille de son mari.

En ce qui me concerne, le problème venait du fait que ce petit cérémonial était impossible à faire puisque je logeais chez mes beaux-parents. Il nous a fallu trouver donc une solution à cet épineux problème : faire dormir ma femme dans une chambre d'hôtel pour que je puisse venir la chercher et la reconduire dans le logis familial.

J'étais habillé tout de rouge et de dorures — le rouge est la couleur de l'amour en Chine. J'avais un costume de mariage chinois — fait sur mesure — et je dois bien avouer qu'il était assez joli. Je l'ai toujours et je ne pense pas que je m'en resservirai un jour ^^

Le matin très tôt, je suis parti avec mes témoins et toute une troupe à la conquête de ma femme. Installé sur un canasson, entouré d'hommes de main et de porteurs d'oriflammes, je me suis dirigé vers le logis de ma dulcinée. J'étais de très mauvaise humeur car la veille, des collègues de bureau, invitées au mariage, ce sont comportées avec un sans-gêne extraordinaire — par exemple, utiliser toute l'eau chaude à deux alors qu'elles logeaient chez moi et qu'on était encore 4 à devoir se laver après elles...

Bref, j'étais de mauvaise humeur et il m'était difficile de ne pas le montrer. M'enfin, jour de mariage oblige, j'enfourche mon canasson et la parade commence. Au départ, je tirais la gueule ; jusqu'au moment où je me suis rendu compte que tout le monde me regardait. Quand je dis tout le monde, vous ne pouvez pas imaginer ça : il y avait des gens partout ! Des centaines ou plutôt des milliers de personnes dans les rues. J'étais très mal à l'aise. Mais j'ai vite aperçu un petit garçon qui me regardait avec une telle admiration que je l'ai salué avec un grand sourire ; le petit s'est pissé littéralement dessus tellement il était content...

À partir de ce moment là, je me suis ressaisi et me suis rappelé que je devais assurer le "show". J'ai donc commencé à faire ma miss Belgique et j'ai salué tout le monde dans toutes les poses possibles. Il fallait que je prenne un air martial et décidé, j'ai assumé mon rôle jusqu'au bout !

Arrivé à l'hôtel, les demoiselles d'honneur de ma femme nous attendais. Et c'est là que tout à commencé. Pour passer, il faut donner de l'argent. Le prix est exorbitant ; un moyen pour le faire diminuer, passer des épreuves et espérer que ces témoins entreprennent de bonnes négociations. Petite précision, mes témoins étaient tous chinois évidemment. Deuxième précision, je connaissais tout le monde. Il faut imaginer la chose plus comme un jeu.

On savait qu'elle était dans l'hôtel mais on ne savait pas dans quelle chambre ni même quelle étage. Deux demoiselles d'honneur attendaient au rez-de-chaussée : c'était la petite sœur et une cousine de ma femme. Les négociations ont commencées avec mon témoin quand je me suis éclipsé jusqu'au service d'étage pour leur demander tout simplement où logeait ma femme. Ils ont compris tout de suite et mon donné le numéro de chambre. Suite à ça, j'ai fait un petit signe à mes témoins et ont s'est vite dirigé dans l'ascenseur. J'aurais pu normalement ne pas payer les deux demoiselles d'honneur car elles avaient failli à leur mission. M'enfin, il faut être beau joueur, elles ont donc eu leur part.

Arrivé à l'étage, je me suis retrouvé face à un mur de jeunes filles. Là, c'était beaucoup moins drôle car j'ai du passer je ne sais combien d'épreuves pour montrer l'amour que je portais à ma femme : donner des thunes, faire des pompes, dire "je t'aime" dans 15 langues, donner des thunes... pendant que mes témoins essayaient de défoncer la porte de la chambre.

Une fois entré dans la chambre, j'ai pu découvrir ma femme dans son habit de mariage. Elle était juste magnifique ! Évidemment, je ne devais pas trop le montrer, sous peine de payer plus cher... Il y a eu encore quelques gages et j'ai pu enfin embarquer ma donzelle chez moi. En bas de l'hôtel, elle monte dans son palanquin, moi sur mon cheval et nous voilà partis pour la maison.

À partir de ce moment là, ce qui s'est passé, je l'avais jamais vu de ma vie... Toutes les rues étaient bondées de monde ! Il y avait des embouteillages partout à cause de moi... Les gens étaient hystériques ! Ils prenaient des photos tout le temps, ils m'interpellaient sans cesse, des voitures s'approchaient de moi pour que je pose pour une photo... Un truc inimaginable ! Toute la ville était en émois pour ce mariage ! Le truc a fait tellement de bruit qu'on a parlé de moi dans les journaux des villes alentours. C'est même arrivé dans un journale de la ville où je travaillais — qui se trouve à 1h15 en voiture de là où on était.

Pour dire la vérité, j'ai compris ce que pouvaient ressentir des joueurs de foot quand ils ramènent la coupe du monde à la maison...

Une fois arrivé à la maison, j'ai porté ma femme jusqu'à notre chambre. Avant ça, nous nous sommes arrêtés devant ses parents pour demander leur bénédiction. Bénédiction accordée, on fait donc du bruit avec pétards et feux d'artifice.

Midi pile, on avale vite un truc et on se repose pour ce qui nous attend au soir. Je vous raconterai ça demain sûrement.

Edité par Pang Tong le 21/09/2019 - 05:01

"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)

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Re: Un peu de chinoiseries

Trop de temps s'est écoulé depuis mon dernier message ici... Désolé mais comme d'habitude, j'ai trop de travail. Je profite d'un jour de repos pour écrire la suite du mariage.

Je vous ai déjà raconté la matinée, il me reste à vous raconter la soirée.

Après avoir avalé un petit truc, nous faisons une sieste et tous les invités regagnent leurs pénates ou vont jouer au Mahjong. Une fois la sieste terminée, ma femme revêt sa robe de mariée et moi mon costume. À présent, nous serons habillés à l'occidentale. On monte dans une voiture pour commencer le cortège jusqu'au restaurant. Évidemment, le parcours est une nouvelle fois l'occasion de se montrer à tout le monde.

On arrive au restaurant avant tout le monde. Je vous rappelle que dans le Zhejiang, on mange plus tôt que chez nous — 5h-6h max. Donc, nous sommes là vers 3h30 pour vérifier que les derniers préparatifs soient en ordre. À partir de là, faut vous imaginer que nous n'avons pas eu le temps de profiter ni de la nourriture, ni de l'ambiance. Nous avons été obligés d'accueillir et de saluer tout le monde — une fois devant le restaurant, une fois en salle — ; de faire le show ; de faire des discours etc. etc.

La date du mariage ne peut pas se choisir comme ça. Il est impératif de choisir un jour "faste", autrement, ton mariage risque de pas durer... Deuxième chose, le choix du restaurant. C'est un peu comme en Belgique, mais je crois que les gens sont encore plus sensibles ici au fait d'être bien reçu. Non seulement, le restaurant devra être bon mais les plats choisis devront être appétissants et riches. Dans le cas contraire, ce sera retenu contre toi à l'avenir. J'ai en tête l'exemple d'une cousine de ma femme qui a un peu merdé là-dessus. C'est dommage mais tout le monde retient ça d'elle et de son mari maintenant. C'est d'autant plus dommage qu'elle était assez proche de ma femme et de moi-même.

Bref, nous préparons la salle en vérifiant que des boissons de toutes sortes et des paquets de clopes soient bien disposées à toutes les tables. Ici, la situation est assez différente par rapport au mariage chez nous. On ne décide pas où placer les invités, ce sont eux qui se placeront eux-mêmes. Ça se fait normalement sans trop de heurts en sachant que chacun sait normalement avec qui il sera durant le repas. Il arrive parfois qu'il y ait des petits malentendus mais globalement, c'est pas l'anarchie.

Une fois les préparatifs finis, les mariés vont aller avec demoiselle d'honneur et "témoin" à l'entrée du restaurant pour accueillir chaque invité. Là, c'est hyper fastidieux car il faut inviter chaque personne à venir et ça dure des plombes... En gros, dès qu'un invité arrive, tu lui souhaites la bienvenue et tu lui donnes deux cigarettes de la marque 喜喜 "double bonheur". En général, c'est plutôt aux hommes que tu donnes ça. Eux, une fois accueillis, ne vont pas tout de suite se diriger vers la salle. Ils devront d'abord passer à la caisse si je puis m'exprimer ainsi. Dans un coin, des tables sont disposées avec des personnes pour réceptionner les dons. Et ça se fait dans les règles : tu arrives, tu signales qui tu es et ta position par rapport aux mariés et tu donnes les sous. On notera ton nom et le montant que tu as donné, tout simplement. Ça peut sembler incommodant pour nous mais en réalité c'est un système assez propre je trouve. Tout est clair, tout est dit, tout est transparent. Tu ne peux pas trop tricher puisque tu le fais devant tout le monde. Évidemment, tu ne dois ni donner trop peu, ni donner trop ; tu donnes en fonction de ta position avec le ou la marié et tes liens dans la famille le cas échéant. L'idée, c'est de ne pas faire perdre la face ni aux gens qui sont censés donner plus que toi, ni aux mariés qui t'invitent et que tu dois honorer.

Une fois tous les invités accueillis — il y en a beaucoup et tu les connais pas forcément toujours tous — c'est ton tour d'entrer dans la salle. Moment assez important avec tambour et trompette, etc. Arrivés sur la scène, on a droit aux discours et aux chansons. Par exemple, j'ai du chanter pour ma femme une chanson qui s'appelle 如果 "si". Il y a un maître de cérémonie, normalement professionnel, qui animera toute la soirée. T'as droit à tout ce que tu peux imaginer : des jeux, des discours, les "anges de l'amour" qui viendront apporter les alliances, des jeux pour les enfants, etc.

Une fois notre boulot fini sur scène, pas le temps de souffler, nous avalons en 10 minutes tout ce qu'on peut manger à notre table. C'est horrible quand on sait le prix que ça coûte et à quel point c'est bon. Mais bon, pas le choix, après 10-15 minutes, nous nous levons pour aller saluer, avec de l'alcool bien sûr, chaque table. De mémoire, il y en avait 24 plus ou moins. Une table, c'est plus ou moins 10 personnes. Faut imaginer que tu dois aller avec ta femmes et tes témoins pour saluer chaque table en avalant cul-sec un shot d'alcool. C'est pas toujours de l'alcool fort ; par exemple, j'avais pris de l'alcool jaune à 15° pour faire ça. Vous penser que c'est simplement boire 24 shots... Ce serait trop simple. À certaines, les invités, pour te faire picoler, exigeront que tu fasses un "santé" avec chacun d'entre-eux à tour de rôle. Et ça doit aller vite, pas l'temps d'niaiser comme on dit.

Quand t'as enfin fini ça, t'es rond comme une queue de pelle et t'es bon à ramener à la maison...

Vous l'aurez compris, les mariés ne profitent pas de leur mariage, ils sont en représentation.

Pour la bouffe qui resterait, on ramène tout à la maison pour manger ce qui reste dans les prochains jours.

Toute dernière chose, il ne faut pas s'attendre à ce que le repas de mariage dure longtemps, en une ou deux heures maximum, la chose est réglée. Les invités arrivent, s'installent, mangent et picolent. Une fois finis, tout le monde rentre chez soi. Certains continueront de faire la fête entre eux mais c'est c'est pas une obligation. Personnellement, j'ai fait l'erreur de continuer de picoler avec le beau-père. Il faut dire que j'étais assez saoul en sortant du mariage mais pas assez pour m'endormir. J'étais dans le pire était qu'on puisse être à ce moment-là : j'étais joyeux. Raison pour laquelle j'ai voulu continuer à picoler. Ils buvaient du vin rouge, j'en ai pris moi aussi. J'aurais pas dû. C'était tellement dégueulasse que ça m'a rendu malade et j'ai dégueulé toute la nuit...

Vous avez une petite idée de ce que peut être un mariage à la chinoise. La Chine, c'est grand et c'est diversifié. Donc, dites-vous quand même que ce que je raconte est une façon de faire et qu'il y en a plusieurs en fonction des régions et des provinces. M'enfin, dans le Zhejiang, c'est plutôt comme ça que les choses se déroulent.

Edité par Pang Tong le 29/09/2019 - 11:38

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Re: Un peu de chinoiseries

Merci pour les retours j'ai rattraper mon retard sur les messages, énorme les bain publics. XD

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Re: Un peu de chinoiseries

Haha, j'essaye de continuer même si j'avoue que c'est un peu plus difficile que pendant l'été.

Pour les bains publics, ça aurait pu être assez tendu en effet ^^

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Re: Un peu de chinoiseries

Tendu, voir très dur....

Pour le mariage je t'avoue que pour moi c'est un peu trop de chichi pour "pas grand chose" comme pour les dons moi je trouve ça abusé de tout noté, au final y'a rien qui à l'air spontané.

Puis c'est sensé être un jour spécial pour toi et ta femme mais au vu de ton récit c'est plus le parcours du combattant qu'autre chose ou tu doit satisfaire tous le mondes pensé au moindre détails ou un simple restaurant peux "niquer" une réputation.