Skip to Content

Chronique N°71


Quand on voit toutes les variantes qu'ont offert les adaptations du manga « Death Note », on peut se demander s'il n'est pas mieux de suivre les différences. Les plus belles adaptations sont peut être les plus grandes trahisons au matériel d'origine. Je reviens dans cette chronique sur l'anime et les films japonais ainsi que le dernier film, américain diffusé sur la plateforme Netflix.

2 Commentaires

Portrait de 100T hammer

Marrant. Une voix qui ne crache pas la haine envers un énième remake américain qui bafoue éhontément le matériaux, et donc par extension toute la culture, les gens et le pays d'origine.
Une vision plus globale qui sait tenir compte du contexte dans l'approche d'un film qui reprend des thèmes très marqués dans la culture du pays d'origine et qui seront évidemment très (trop ?) compliqué à faire passer au grand publique d'un pays si éloigné.
Ça fait presque un choc !

Voir l’adaptation comme une appropriation et comme un moyen d'exprimer des thèmes plus proches et plus familiers des américains en l'occurrence. C'est à ça qu'on reconnaît les "vrais" cinéphiles je suppose ? Plus analytiques, plus critique et moins dans le ressenti réactionnel, mais avec en tête l'idée de médium par le cinéma...

Et bien je le savais déjà, mais ça se confirme ici : je ne suis pas cinéphile. :p
Les teenage movies américanisants à outrance j'en ai soupé. Je n'ai pas du tout la patience de tenter cette "expérience" pour voir les thèmes que tu évoques.
Et je ne penses pas que je vais donner sa chance à ce film...

Je me rattraperai peut être une prochaine fois. ^^'


Portrait de DoTT

Pour la version américaine, j'ai eu une extension de ma chronique dans ma critique sur ma chaîne Youtube. Je me suis juste posé quelques questions. J'ai vu les 2 films japonais des années 2000 avant de voir la série d'animation, donc ça joue sur mon recul.
Je pourrais être dans un ressenti réactionnel, mais je laisse ça à un autre contenu que dans ce genre de chronqiue.