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Chronique N°35


Je crois qu'il faut faire la différence entre un nanar au regard d'aujourd'hui et un film qui a vieilli tout simplement. Film politiquement engagé, « New York 1997 » et « Los Angeles 2013 » auront marqué leur époque. Les aventures de notre charismatique héros, Snake Plissken auront fait parler de lui, malgré qu'ils n'aient pas été produits dans le circuit Hollywoodien. Même si je ne connais pas les jeux vidéos de Kojima, je sens qu'il n'a pas repris que le visage de notre héros.

8 Commentaires

Portrait de Yoco

J'ai pas compris pourquoi tu parles de LA 2013 comme un remake de NEW YORK 1997 vers la fin, ce n'est pas un remake.

TSUNAMIIIIIIIIIII SNAKE !

Ma préférence va à LA 2013.


Portrait de DoTT

la fin de 2013 fonctionne EXACTEMENT de la même façon que le 97.


Portrait de Yoco

Oui mais c'est po un remake !


Portrait de DoTT

LA 2013 est autant un remake de NY97 que Robocop (2014) l'est de Robocop (1987).


Portrait de DoTT

un remake parodique en sorte alors.


Portrait de Chav

La démarche de Carpenter me paraissant plus maline, pertinente et intelligente que les remakes contemporains mercantiles (qu'il autorisent lui-même aujourd'hui, m'enfin tant mieux pour son compte en banque...), personnellement je pencherai davantage pour la notion "d'auto-parodie".


Portrait de quenthi

Très bonne chronique Dott, sans doute l'une de mes préférées ! En effet je trouve que tu traite avec qualité tous les sujets abordés dans les films tout en faisant des parallèles intéressants avec les évènements de la réalité.
De plus le montage entre les deux films est bien réussit surtout avec cet intro de MGS V !

Pour ma part je trouve que c'est un bel hommage rendu à ces deux films qui méritent d'être davantage connus !


Portrait de Romano

L'ambiance de New York 1997 m'a durablement marqué quand je l'ai vu plus jeune. Je ne l'ai pas revu depuis très longtemps, mais encore aujourd'hui, certaines images du film me hantent. A bien des égards, cette ambiance de destruction, d'immoralité, de noirceur omniprésente était bien plus traumatisante et subversive que beaucoup de films d'horreur et d'épouvante de l'époque. Un futur qui à la fois me captivait et me faisait flipper.
Merci pour cette chronique qui rend un bel hommage au film!