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Shenmue HD (8/8)

Live sur le portage de Shenmue sur PS4

53 Commentaires

Portrait de teknosonorious180

Et bien 8 eme partie et dernière de l'épopée ! voilà on est à la fin .
Franchement excellente épopée j'ai beaucoup aimer, le gameplay de Hooper qui a très bien jouez de 1, a pas était désagréable du tous , se qui est super agréable en fait, comparez quand il ralouille .
Le jeu quand à lui, est juste pour 1999, une belle prouesse !
Les musics, superbe ! Le gameplay, hormis le déplacement lourdo que l'on récent même, à travers son ordi, ça vas .
C'est un des best jeu "Action RPG Aventure" de la Dreamcast et la Saturn ( pas sur qu'il l'ai sortie sur la Saturn je sais plus ? )
Un truc que j'ai trouvez très bien fait , c'était la neige ! franchement t’avait grave la sensation qui neiger à gros flocons vraiment super bien foutu.

Ha par contre, je pense que il aurait montez le son du jeu, un peut plu fort, ça aurait était pas de trop.
Parceque on entend au final, pas trop les musics du jeu, ou autre son d’ambiance ?
Surtout quand, il parle ! Il a le son de sa voie, très fort ! Résultat, ça couvre vraiment le son du jeux disons, que sa voie est nettement trop élever, je trouve, après, je suis DJ, j'ai 20 ans de techno et de mixage derrière donc, je pense pas me tromper en disant que le mixage et pas sale mais pas trop équilibre en fait voie + son du jeu.
Mais après, c'est pas du tous pourris attention ! C'est juste que, d'avoir mis le son du jeu plus fort, aurait était encore mieux !


Portrait de derwich

Certaines œuvres sont intemporelles. C'est le cas de tableaux, de musiques, de long métrages. Ce caractère qui semble définir fondamentalement l'art s’applique, donc, aussi au jeu vidéo grâce à l'audace et l'ambition du visionnaire Yū Suzuki. Shenmue premier du nom n'a pas usurpé sa réputation de monument tant toute l'œuvre est une démonstration de supériorité. En réalité, il s'agit plus un monde parallèle qui a été façonné, qu'un "pur" jeu vidéo. Tous les environnements sidèrent de réalisme et les interactions étoffent l'univers foisonnant de cet incroyable titre. Même le système de combat est ultra élaboré, peut être même trop pour son usage concret et raisonnable.
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On peut simplement regretter cependant, que le bourrinage paye trop souvent. Telle est l'image du méga coup de pied sauté de l'angoisse qui OS un ennemi ou la faculté de répéter les mêmes combos pour arriver à ses fins (façon "arré arré, triangle !" dans GoW3). La régénération de vie est étrange elle aussi, il suffit de courir comme un dératé et la vie remonte un poil trop vite, ce qui émousse un rien la difficulté. Mais les combats sont du coup assez drôles et ardus (surtout avec le Hooper aux grosses commandes :p). Le gameplay global, que l'on peut aisément qualifier de lourdingue est fondamental pour l'expérience enivrante. Son caractère d'ovni lui doit beaucoup, comme pour Shadow of the Colossus d'ailleurs. La rigidité d'action est en réalité une très belle qualité qui est mise au frontispice de son édifice. Il canalise toute l'inertie et insuffle le rythme lent fondamental à la cristallisation de l'expérience. Voilà un bel exemple d'un défaut classique qui se renverse en une qualité. Pas étonnant qu'il émane de ce jeu si différent qu'il en ferait pleurer quand au carcan actuel des goûts, des clichés, des ventes et des critiques professionnelles. Le réalisateur de cette bouffée d'air frais a pris des risques (et en prend encore actuellement) sur cette franchise tout en voyant grand ! Il a compris que quitte à voyager dans le temps, autant le faire à bord d'un univers qui ait de la gueule ! Pas moins de 5 jeux qui s’enchaînent, selon le Hooper, quelle magie s'il réussissait à tous les sortir et à transpercer le maillage du conventionnalisme. Le cœur du voyage est finalement, rien de moins qu'un vecteur de diffusion d'une culture, d'une pensée, d'un pays. Le Japon est sublimé grâce à des personnages charismatiques, des décors éblouissants et des mouvements de caméras sophistiqués dans les cutscenes qui tranchent radicalement avec la mouvance archaïque d'il y a 20 ans déjà. Le concept, outre la révolution graphique, véritable prouesse scientifique, est tout autant exceptionnel. Baser intégralement un jeu vidéo sur une véritable "simulation" de vie aurait pu fracasser n'importe lequel d'entre eux si ses développeurs n'étaient pas totalement allés au bout du bout du délire et ne croyaient pas en leur protégé. Et ce, jusqu'à un tel point que l'absurdité de notre propre vie nous est renvoyée comme un miroir satirique et ambiguë. Qu'est-ce qui différencie la vie de Ryo avec la notre, au fond, sachant qu'il est un programme et, en principe, pas nous ? L'apothéose a lieu lorsque nous vivons l'impossible. Aux termes de véritables morceaux de bravoure par lesquels toute l'essence du jeu réside en un
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l'esprit est bousculé dans sa linéarité. Nous ressentons alors la même charge de travail que le personnage à des heures précises, et tout à coup, le fun que nous éprouvions, se transforme d'emblée en une corvée. C'est du génie. Yū Suzuki questionne les limites du possible en détournant le jeu vidéo de sa fonction première, l'amusement, et en opérant un simple revirement vers des tâches professionnelles réalistes. Le joueur pense vraiment travailler, c'est en ce sens que le jeu est particulièrement réussi dans l'investissement du comportement des gamers. L'ambiance est tout autant formidable, tant par ses musiques, son sound design et la proposition de ses zones à explorer. Toute cette possible succession de mini-jeux forment l'entité supérieure du grand jeu. Il aurait été probablement encore plus malin de saouler le joueur encore plus avec, à chaque échec d'un QTE, l'obligation de devoir recommencer le lendemain, comme pour les rendez-vous, voir laisser ce système de respawn qui jure un tout petit peu avec l'ensemble, mais en le complexifiant d'avantage. Il n'en demeure pas moins que pendant les nombreuses phases d'attente, la multitude d'activités paraît presque infinie, qui plus est, dans des endroits aussi limités. Ce sont elles qui fondent véritablement Shenmue et lui donnent toute sa grandeur. Frappant d'originalité et de créativité, ce jeu est sans commune référence similaire à sa hauteur. Tout son univers est tangible et racé, élégant. Les personnages (comme ce bon vieux Tom !) un poil moins clichés que prévu, auraient pu (avec une belle dose de mauvaise foi) rester propres à chaque zone et éviter de se TP dans les autres, au fil de l'avancement dans l'histoire. Le scénario qui est en plus, le plus pertinent possible, car rattaché au monde et aux personnalités, à savoir, une "enquête" incluse dans l'environnement qui la développe.
Que dire de plus mis à part que Hooper nous a fait rêver avec ses rêves et ses anecdotes touchantes et cocasses. Le délire du "Fouquesan, fouquesaaaan !" et du psychopathe en liberté étaient proprement hilarants. Même si le portage a ses limites en matière de finition et de beug, il a le grand mérite d'apporter la compréhension, rien que ça. Un grand bravo et merci pour ces belles vidéos teintées de souvenirs et de miracles.
Ce dernier terme est bien faible, quand, à la clôture de ce chef d'œuvre, Yū Suzuki effectue son dernier tour de magie. Sur le sentier nostalgique qu'abandonne Ryo avec son baluchon dans cette ville qui a changé l'histoire vidéo-ludique, explorée des heures durant, l'usage cinématographique d'un travelling compensé qui vient porter lentement, progressivement, naturellement, la focale spirituelle du personnage, sur un magasin de jeux vidéo "Game You", symbole d'un Japon fantasmé et pionnier du jeu vidéo, capable de délivrer de telles fulgurances, opérant une mise en abyme tellement puissante qu'elle détruit le quatrième mur, l'artiste met un magistral point final à la peinture d'une fresque à la mesure de son talent.


Portrait de oliv85

Bon je viens de me retaper les 2ers Shenmue il y a quelques jours , je viens donc ici quémander la suite en live de Shenmue 2 !!!!

J'ai déjà une petite idée sur la réalisation de ces futur live sur Shenmue 2, pas très emballé par la suite mr Hooper à ce qu'il parait , dommage.

Pourtant ce Shenmue 2 était très sympa , plus de 17 ans après l'avoir fait sur la dreamcost, j'en avais beaucoup moins de souvenir que le 1er bizarrement (sauf la magnifique fin évidemment ) et pourtant je me suis bien éclaté.

Il y a moins de magie dans Shenmue 2 que le 1er mais sur certains aspect il est beaucoup plus développé et interessant !

J'espère quand meme que tu vas faire le 3 à sa sortie !


Portrait de DEATH ADDER RETURN

Et SHENMUE II HD Hooper??? As-tu oublié? Il n'y a pas de LIVE pour cet épisode?
Si tout le monde ici semble l'avoir oublié, ce n'est pas mon cas.
C'est un un petit message de rappel !!!
Allo HOOPER? Il a raccroché...

Avant le 3 bien sur pour bientôt :


Portrait de graounet

Bonjour, j'ai deux questions sur Shenmue. Si ceux qui l'ont joué sur Dreamcast à l'époque peuvent me répondre ce serai super :
1-Est ce qu'à l'époque on pouvait sauvegarder comme l'on souhaitait (en passant par le menu) ? Ou ne pouvait-on sauvegarder qu'au moment du couché ?
2-Lors de la phase d'infiltration pour trouver le Warehouse N°8 : Si on ne faisait repéré pouvait-on recommencer immédiatement ? Ou devait on forcement attendre le lendemain pour recommencer ?


Portrait de Rudolf

@graounet : Sur Dreamcast, ça marchait comme dans Zelda Majora's Mask : tu avais une sauvegarde "définitive" que tu ne pouvais faire que dans la chambre de Ryo, et une sauvegarde "temporaire" (la fonction "Resume") qui te permettait de mettre le jeu en "pause" (ce qui te permettait d'éteindre la console et de la rallumer pour recommencer là où tu t'étais arrêté, mais à ce moment-là cette "sauvegarde" s'efface).

Pour ta deuxième question, je ne m'en souviens plus, mais je ne pense pas qu'ils aient changé ça dans le remaster, donc à mon avis on pouvait aussi recommencer immédiatement sur Dreamcast (une journée s'écoule à chaque fois que tu échoues ton infiltration).


Portrait de graounet

@Rudolf : Merci :).
C'est un peu le même principe dans dragon Quest sur DS.


Portrait de Antonius

Une bonne épopée.

J’ai eu la débilité de la suivre en partie en live, sachant que je ne pouvais pas tout voir d’un coup, seulement par-ci par-là ; du coup j’ai essayé sur ce long laps de temps de combler les trous de l’emmental, avec difficulté, un vrai bordel en somme. Puis sur un tchat je m’avilis pour dégénérer en Jo la Vanne (déjà que de base…), naviguant entre Arthur, Tomer Sisley ou encore Gad Elmaleh… Audi, vide, tace c’est mieux !

Bon, je vais quand même parler ici. Shenmue est parfait sauf sur quatre points qui lui manquent : des pyjamas (plus propre et confortable que le jean), des flingues (plus rapide et efficace que le Virtual Fighter), des téléphones portables (plus pratique et direct que le va-et-vient ou les téléphones fixes à cadran ; pourquoi pas un anachronisme en plus de la Saturn ?), et des croquettes Sega (le chat en a eu marre du thon, il s’est barré à la dérobée).

Le jeu n’a pas marché à l’époque du fait déjà que la Dreamcast n’avait pas décollée de son fauteuil. Je me souviens bien qu’au collège, mes coreligionnaires attendaient plutôt de dépenser leurs petits magots pour la PS2. Les titres de la Dreamcast étaient moins connus que les licences qu’on trouvait chez Sony ou Nintendo, et les jeux plus japonisant. Shenmue était trop japonisé et réaliste pour l’époque voire même, il le serait encore aujourd’hui (quoique RDR2 est plus lourd, WTF). Le revers d'une qualité du jeu.
Un autre « défaut » aussi, l’univers « gamin » des Mario et autre Sonic était encore présent, et les jeux, c’était essentiellement pour se défouler, la moyenne d’âge des gamers était beaucoup plus basse qu’aujourd’hui : combien d’enfants, d’ados ou de jeunes adultes ont été grisés à l’idée d’incarner un perso qui se lève au réveil pour aller bosser comme cariste ? Sega aurait dû attendre que cette génération de joueurs soit plus vieille et mature, loul.

De plus l’atmosphère du jeu est bon enfant, la morale n’est pas beaucoup effarouchée ; pour une histoire de vengeance, on est loin de chez Tarantin Valentino avec son Kill Bill-Ball. Y’a bien une fleur du mal, mais Ryo peut pas l’effleurer, et avec sa copine c’est tellement du coincé, que même les moineaux baillent ! La violence, c’est juste des tartes dans la gueule, on est bien loin des GTA.

Et puis comment Sega aurait pu faire vendre sa Dreamcast à l’international, avec un jeu aussi xénophobe : qui sont les méchants chez les japs, un chinois et des américains ! Mais balancez-moi ces migrants par-dessus les docks !
Enfin pardon, je dis des sornettes comme d’hab.

Au final, c’est du Bruce Lee en Harley, c’est le sushi du détail mais du sushi à se faire pour Sega, c’est l’otaku attaqué sur les quais, c’est bourrinage sur Space Harrier et, bottage sur d’espèces d’arriérés, c’est le Père Noël qui a la jaunisse, c’est baston au dojo et chaton clodo, c’est la Carte au Trésor sans hélico, c’est les baguettes pour les ramens et ramène les palettes, c’est chic graphisme et shintoïsme, c’est banzaï et rastas, bonsaï et vendetta, c’est Prends ton nunchaku on va à Hong Kong
C’est Shenmue !


Portrait de Gwendoline

Quelle belle découverte ce jeu, Hâte de découvrir la suite avec Shenmue 2 ^^


Portrait de Kichnifou

J'ai vraiment beaucoup apprécier découvrir ce jeu en ta compagnie
C'était un moment fort agréable

C'est un ovni, et c'est génial de pouvoir le découvrir à travers quelqu'un qui en a la nostalgie

Vivement Shenmue 2 !


Portrait de Rudolf

Je redécouvre le début de Shenmue II avec le Hooper : putain, mais c'est énorme, j'ai l'impression de revivre mon voyage en Inde de cet été dès que je sortais d'un aéroport ou d'un train !!! XD

Le même genre de "scams", quoi, c'était à chaque fois le même cinéma dès que j'arrivais dans une nouvelle ville : "Bienvenue, vous cherchez un endroit où dormir ? ", "Photo ! " (le nombre de selfies qu'on m'a demandés, c'était faramineux ! ), "Vous voulez une visite guidée ? Ce n'est pas cher", "Tuk-tuk ? ", "N'allez pas là-bas, c'est fermé ! ", "Non, n'allez pas là-bas, ne prenez pas le métro, cet endroit n'est pas sûr pour les étrangers, suivez-moi ! ", "Votre hôtel a fermé, laissez-moi vous mener à un autre hôtel", "Suivez-moi, il y a une bien meilleure vue de là-bas", "Quoi, vous voulez prendre le bus au lieu du tuk-tuk ? Mais non, c'est trop loin, c'est à 3 km". Systématiquement, c'était pour soutirer de l'argent, comme le dit la Chinoise à Ryo : que des escrocs, que des conneries, que des "tips" (pourboires) ! :-D

Du coup, c'est intéressant : j'apprends donc dans Shenmue que les Hong-Kongais font la même chose à des Japonais, donc il n'y a pas que les occidentaux qui subissent ce genre de truc. ^^

D'ailleurs, même certains Indiens m'ont dit qu'ils subissaient ce genre d'escroquerie ou de surfacturation dès qu'ils changeaient d'Etat à l'intérieur de l'Inde vu qu'il y a une trentaine de langues différentes dans ce pays et qu'ils ne se comprennent pas entre eux (ni à l'écrit, ni à l'oral), qu'ils sont obligés d'utiliser l'anglais pour communiquer entre eux quand ils changent de région linguistique : c'est assez dingue, je n'en revenais pas ! :-p


Portrait de Jarjar34

Tu compares l’inde avec le japon toi, tranquilles les roubignoles à l’air. Tu devrais voyager un peu plus


Portrait de Hellipsir

Aïe-aïe, jarjar! Premier com', première connerie, ça commence mal. Avec un pseudo pareil, tu me diras...XD


Portrait de batankyu

jarjar a écrit:
Tu compares l’inde avec le japon toi, tranquilles les roubignoles à l’air. Tu devrais voyager un peu plus

Il compare l'Inde (où il a voyagé) à Hong Kong tel que présenté dans le jeu (qui ne fait pas partie du Japon).


Portrait de Rudolf

@jarjar34 : Et toi, tu devrais lire un peu plus car je n'ai absolument pas comparé l'Inde avec le Japon.


Portrait de Umbasa

Excellente épopée en tout cas, ça fait plaisir de te voir en mode pure nostalgie (même peut-être un peu trop ? lol)
Moi j'ai pas fait le jeu à l'époque, mais c'est vrai que y'a beaucoup de choses impressionnantes dans le jeu pour l'époque comme les PNJ, bon par contre obligé d'avoir le PC à coté vu le rythme du bouzin les phases en fenwick mon dieu quel immondice.
En tout cas, hâte d'avoir la suite du jeu j'espère quand même que tu va pas attendre trop longtemps.

Pour Yakuza même avis que toi, je comprend pas leurs délire pour les sous titres ils essayes même pas de proposer les ST FR, ils pense forcement que ça va bider quel bande de boulet c'est pas possible.
Au pire tu test au moins une fois des ST, si ça bide tant pis au moins il pourrais dire: - ont a essayez. (bon apparemment ils ont mit des sous titres sur le 1er Yakuza sur PS2 mais ça date les habitudes ont changer depuis la PS2)
Le marché euro n'est pas à négligé surtout que certains pays comme la France as un gros amour pour le Japon enfin bref.

Sinon je retient de cette épopée la confirmation que Hooper est bien Bilingue, plus de doutes possible.


Portrait de Rudolf

@Umbasa : Non mais en fait, Hooper COMPREND l'anglais. Il a fait Everquest avec que des anglophones à l'époque, sans parler de tous ces RPG qu'il a faits en import sur 16 bits et 32 bits (voire 128 bits avec les Shenmue). Même dans son live sur Cuphead, quand il traduisait les cinématiques, c'était à peu près correct (quand il ne faisait pas trop exprès de faire n'imp). C'est juste qu'il est devenu hyper flemmard avec l'anglais, qu'il n'a plus envie de faire d'effort là-dessus (ce qui peut se comprendre, je ne critique pas), mais quand il le fait sérieusement, qu'il se concentre, sans déconnade, il comprend l'anglais.

Sinon, c'est compliqué quand même, les traductions en français. Certes, la culture japonaise est "populaire" en France, mais bon, ça dépend : tout ne se vend pas non plus, loin de là. Moi par exemple, je ne lis pas trop de mangas ni ne regarde trop d'animes, sauf des trucs un peu particuliers qui ne sont justement pas regardés du tout par une majorité des amateurs du genre. Et est-ce que la culture japonaise est aussi populaire dans les autres pays européens ? Parce qu'il faut rappeler que pour qu'un jeu bénéficie d'une traduction en français, il faut aussi qu'il soit traduit en allemand, en espagnol, en italien (voire en portugais), donc est-ce que ce surcoût de traduction va vraiment élargir un vrai public rentable dans les autres pays européens en-dehors de la France (qui est un tout petit marché) ?

De plus, je n'ai pas l'impression que les joueurs français soient tant demandeurs que ça d'avoir un Yakuza traduit en français. Les Persona, à la limite, il aurait pu y avoir un potentiel de vente supplémentaire et un bénéfice en le traduisant en français, mais Yakuza, j'ai vraiment des doutes quand même. J'ai plutôt l'impression que les Yakuza, tout le monde s'en fout en France (alors que les Persona sont nettement plus "réclamés"). Ce sont d'ailleurs des jeux qui ont failli ne pas sortir du tout en Europe pour la plupart des épisodes.


Portrait de Hellipsir

Citation:
quand il le fait sérieusement, qu'il se concentre, sans déconnade, il comprend l'anglais.
Oui, Hooper n'est pas si mauvais que ce qu'on pourrait croire en compréhension de la langue de Shakespeare, son soucis c'est surtout la pro-non-cia-tion ^^'.


Portrait de Umbasa

Oui Rudolf suis d'accord y'a beaucoup de paramètre en prendre en compte puis pas sur que les ventes suive mais au moins tester une fois (bon comme tu me la fait remarquer il ont déjà test avec l'épisode PS2 mais c'étais y'a Mathusalem dans le mode du jeux vidéo la ps2) puis c'est quand même Sega derrière quoi. :(
Suis sur Hooper n'est pas le seul à boycotté les Yakuza à cause de sa d'ailleurs y'a même des gens qui boycotte les jeux Rockstars car il sont en VAST je savais même pas perso.

Pour Hooper il ne fera jamais un gros jeu en full anglais avec beaucoup de textes genre Yakuza ou un Undertales déjà quand le jeu est traduit est bien expliqué il est pas asser attentionné alors avec un jeu en anglais imaginez le truc xD.


Portrait de Hellipsir

Citation:
il est pas asser attentionné
Il n'est peut-être pas assez attentionné avec le bon gros tchaton parfois, mais dans un jeu je pense qu'il n'est surtout pas assez attentif X) .